Run&bike de Niederbronn

Comment décrire ce run&bike ?

Quand mes pieds, mes jambes et mon cuissard ne font plus qu’un ensemble brun, je dirais que c’était une édition plus que mouillée. Ouhouuuuuu chaussettes êtes vous encore là ?

Il a plu en y allant, en se garant, en attendant le départ, sur le parcours - aussi merci Félicie…. mais bizarrement là on ne le remarque pas ! Et en plus c’était de la pluie qui mouille.

On ne se démonte pas pour autant direction les inscriptions pour retirer les dossards. Le petit cadeau du jour une entrée à la piscine au cas où on n’était pas entièrement mouillée et une petite chopi isotherme pour le Grog de l’arrivée. A boire, oui donnez moi à boire histoire de noyer encore plus mon rhum…

L’état du terrain : comment dire ? Mouillé genre vania sans la pocket mais avec la surprise qui va avec. De la boue : non, on n’est pas à Oberhausbergen mais plutôt une bonne pâtée de sable qui colle à la roue.

Autant cela n’affecte pas trop sur la vitesse de la cap mais en vélo, patatrass… Adieu les belles théories de repère de pause de vélo…

Niveau stratégie et plan de course rien ne se passe comme prévu. On n’arrive pas à se caler sans perdre du temps au contrôle. Très à l’aise sur le vtt je grimpe trop vite pour rester coincée au contrôle et mon renard déroule comme un malade en descente à pied pour rester lui aussi coincé au contrôle dans la remontée. Bref une tactique qui n’a pas fonctionné du tout surtout après un mauvais départ avec un coureur qui tarde à arriver, une vttiste qui galère pour remonter les concurrents voila comment partir du mauvais pied.

Cependant dans la catégorie des pieds y’en avait des cas ce dimanche. Je n’ai jamais constaté autant de patauds sur une course. Même dans la boue de la Wantzenau, je n’ai pas eu à éviter autant de gens qui courent n’importe comment, glissent et jettent leur vélo devant vous… genre rien à foutre de mon matos. Comme si c’était un sac de patate ! Euhhh mais non, moi je prends soin de mon vélo le pauvre déjà qu’il ne tient pas l’humidité.

Alors voila une belle course de loupée d’un point de vue stratégie de course.

Par contre niveau sportif c’était pas mal du tout. Je crapahute tout droit dans les flaques sans me noyer. Je descends à toute blinde en vélo malgré les coups de pédales qui se perdent dans les tibias et talons en gardant les yeux ouverts et sans hurler de peur sans cesse. J’essaie de lever mes papattes dans les descentes en cap sans perdre trop d’allure….

et surtout j'avale les éclaboussures de sable en imaginant que ce sont de corn’flakes de roses de sables au chocolat….

Vive les run&bike ! 

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Reco run&bike Niederbronn

Petite reconnaissance du parcours du run&bike de niederbronn avec les moyens du bord qui sont plus que limite. Sévère coup de froid cette semaine, je parle comme un canard, respire comme un asthmatique… bref la grande forme. Je n’arrive même pas à ouvrir la bouche tellement j’ai les poumons en feux. Allez faire une reco dans ces conditions !!!! 
Quoi qu’il en soit histoire de se rappeler le parcours pour pas tomber sur une mauvaise surprise la semaine prochaine, direction niederbronn en ce samedi matin de grande fraîcheur. Je n’arrive absolument pas à me mettre dans une bonne ambiance corporelle, la différence de température entre le vtt et la cap est fulgurante. Les relais sont du grand n’importe quoi mais bon. 
Ce qu’il faut retenir c’est que le terrain est plus que propice pour la course de la semaine prochaine. Si les conditions météos se maintiennent se sera super chouette. 
Le sol est super dur et la montée en vtt se fait les doigts dans le nez. La preuve mon état de santé proche du zéro pointé et pourtant je monte sans problème.

 

Après cette petite virée, petit détour gourmand dans le resto La Ferme Mellon à Niederbronn. Je ne comprends pas pourquoi ce lieu n’est pas plus côté que cela. L’endroit est quand même exceptionnel. Moi j’y envoie même des clients au boulot. Toutes ces vieilles pierres, cette bâtisse refaite confortablement, cela vaut bien les tables alsaciennes kitchitisme à souhait de la région. En plus ici on peut manger en observant tranquillement son vtt dehors qui attend sans crainte -  presque  - de se faire voler. 





Zut il pleut aujourd'hui...le sol va changer....

Grise quelle n'est pas de mine....

Zinswiller...l'alsacienne traine sa remarque moi mon vtt...

Prévisions météo du we : gris et pluvieux...ok ben il faudra faire avec. Après tout on a que faire de la météo tant qu'on a l'équipement adapté. Après une semaine de chabat  retour à un peu d'acitivité sportive. Le dos toujours marqué donc pas de portage en vue et vive le topless !!!

Samedi petit parcours trail pour relier Liebrauenthal au Soultzerkopf....

C'est dingue il y a un de c’est monde en forêt. Entre les bucherons, les cueilleurs de champis, les récolteurs de châtaignes...pour un peu on se battrait sur le chemin. Bon je rigole un peu mais c'est étonnant au vue de la météo de ce samedi de croiser des êtres humains en forêt ! Partie équipée pour affronter une tornade de pluie, je me retrouve à courir au bout d'un km en débardeur...et pas une goutte de pluie. Même un rayon de soleil a pointé son nez au retour sur les hauteurs de Goersdorf mais ça c’était pour chasser toute la brume qui recouvrait le point de vue au Soultzerkopf qui planait au dessus d’une mer de nuages.  

Petite sortie tranquilou pour prendre l'air automnale et salir surtout les chaussures.

http://connect.garmin.com/activity/385941398

Dimanche sortie de prévue avec les potes d'ina pour faire du vtt au départ de zinswiller. Je pensais avoir affaire à un club de mâles virils et nous voilà à peine à 3 courageux à affronter la pluie matinale. Comme je disais le ramage dépasse bien plus le plumage au vue du nombre de vttiste. Je ne roule peut être pas vite et je suis nulle au point de vue technique mais ce n’est pas un peu de pluie qui va changer mon programme du dimanche matin.

Pas de carte, des potes qui connaissent le secteur au sens large du terme, bien on va improviser un parcours. On commence par tourner autour de l’Ungerthal et nous sommes plutôt surpris agréablement par les conditions météos qui ne sont pas aussi terribles que cela. Le terrain est praticable mais il est vrai que j’impose plus ou moins ma loi quand au choix des chemins. Autant pouvoir rouler tranquillement en faisant quand même un certain nombre de kms et de dénivelé au lieu de s’amuser à faire du technique sur les racines humides pour terminer par terre à sucer les racines.

Bref petit parcours bien sympathique, on prend le temps de chanter même et d’emprunter par défaut d’une bonne localisation géographique un magnifique petit single via le triangle et la croix bleu qui nous fait découvrir la source du Lauterbeachel….Belle boucle non loin du col de l’Ungerthal à refaire autant à pied qu’en descente à VTT. Traditionnelle montée vers le château de l’Arnsbourg où je croise en descente deux magnifiques biches suivi d’un immense cerf majestueux. Je brame à ma façon pour leur faire peur car je ne voudrais pas faire un constat d’accident même à l’amiable avec une telle bête.

Belle petite sortie pour se mettre en appétit avant de regarder la messe du dimanche matin à la TV…Au retour on croise toujours autant de fans sur la route. Mais je ne comprends pas, pourquoi ils ne nous ovationnent pas quand on passe devant eux…????

La RodiKuhe…ahhh ce n’est pas moi cette semaine, je n’ai pas pris de vache qui rit avec moi ! Soit !

http://connect.garmin.com/activity/386332735

La vache qui rit sur la trace de la TMV du Gaschney à Thann

http://connect.garmin.com/activity/383306626
http://connect.garmin.com/activity/383307055

Relier le Gaschney à Thann via le tracé de la TMV tel était le programme de ce dernier we du mois de septembre. C’est une partie de la TMV que je voulais toujours faire en vtt… et je me rends compte qu’il vaut mieux le faire en format trail rando course qu’à vélo !

Sinon bonjour les frustrations…quoi que vtt signifie vélo tout terrain…mais y’a des limites.

Petit défit personnel pour ma part, c’est anodin pour certain mais moi je ne l’ai jamais fait, parcourir 69 kms en deux jours en tenant encore sur mes jambes, histoire de retourner au boulot le lundi en marchant normalement….

La vache qui rit sera mon fil conducteur tout au long de ma route ne l’ayant pu l’a manger le samedi matin en partant. Ça me plait bien d’improviser avec ce morceau de fromage, et la comparaison me convient aussi…juste que je ne remue pas de la queue pour chasser les mouches moi !

Départ donc samedi matin de la station du Gaschney en direction du lac de Schiessrothried. Météo : on ne pouvait rêver de mieux. Le programme et le profil de la journée sont faciles : descendre puis monter jusqu’au Markstein. 30 petits kms sans grande surprise de parcours. Juste un petit détour au niveau du lac pour pouvoir affirmer par la suite : « mais je t’avais dis qu’il ne fallait pas faire le tour du lac…mais regarde sur la carte… !!!!! ».

Puis la carte on l’a regardé, les descriptifs du parcours ont été lu et relus et presque plus aucune hésitation quand au balisage. Bon il est vrai qu’il faut avoir une certaine expérience dans ce domaine pour ne pas se laisser embarquer sur les chemins de traverses. La logique du balisage est une science à part, et ne répond bien souvent qu’à la bonne volonté et le bon sens de celui qui le pose. Poser un balisage dans une montée de 6km juste pour rassurer le boucanier du we, pensez-vous ! Non non….

Le parcours manque évidemment de singles, mais bon c’est la logique de ce genre de traversée…

Quelques beaux points de vue, mais aucune vache dans les près. Non mais elles sont où mes copines ? On finit par sortir de la forêt pour terminer presque sur les crêtes, mais toujours aucunes traces de bêtes à cornes vosgiennes. On termine assez rapidement le parcours. Logique même en format trail la TMV c’est super roulant. Et même pas mal !!!! …C’est donc cela le concept de rando course ?!

J’ai même eu le temps de faire des photos pour suivre les aventures de ma vache qui rit. Elle est restée indemne toute la journée et pourtant je lui aurai fait faire des acrobaties !!! Et elle n’est toujours pas folle la bête !

Direction l’ hôtel wolf pour se prélasser sur la terrasse, les doigts de pied en éventail devant une glace…Trop dure la sortie, il faut au moins cela pour récupérer !!! Mais ce n’est rien au vue du repas qui est proposé le soir…L’hôtelière m’annonce tout de suite la couleur = repas unique le soir. Genre vous la chieuse vous allez manger ce qu’on vous donne, l’inscription doit être visible sur mon front.

Bon je prie un instant pour pas me retrouver avec des pieds de porc dans l’assiette…

Soupe = oufffff, cruditées = après la soupe ? Allez pourquoi pas on est en montagne. Choucroute = yessssss trop bien !!! Et tarte aux pommes pour terminer…Plus une miette dans les assiettes, ehhh faut pas déconner tout de même !

Rien de tel pour se ressourcer après avoir passé la journée dehors. Après cela direction dodo, dans un lit fait au carré. Mais qu’il est agréable d’essayer de rentrer dedans en tirant de toutes ses forces le drap, qui est sous la couverture, qui est coincé sous une couette, sur lequel repose encore un duvet. Après cet effort, va avoir le courage de chercher la télécommande. Si tu as réussi à te glisser dans le lit, après tu ne bouges plus !!!! En fait c’est un lit à effet de bas de contention, j’ai compris. 

Pour donner le couperet final au programme inspecteur Magellan à la tv, LE polar du samedi soir pour s’endormir cache. L’équivalent de Derrick à la française…eh encore c’était certainement l’épisode le plus chaud de la saison vu qu’ils parlaient de prostitution…

Voila une bonne nuit de sommeil passée…et super bien récupérée. Rapide tour du propriétaire :

Eléments importants jambes et pieds : Bien, pas de bobos majeurs (ampoules ou crampes) qui pourraient compromettre ma journée. Donc je devrais être capable d’enchainer les 40 bornes qui sont au programme.

Eléments annexes perturbateurs : mauvais choix de brassière par contre la veille. Plus jamais de bretelles croisées…La croix de jésus est gravée sur mon dos !!!! Zut faudra faire du Topless durant la semaine de boulot car impossible de mettre un soutien gorge !

Habituel frottements au bas du dos mais une bande d’elasto fera merveille.

Petit déjeuner copieux sans Vache qui rit ici…Ce n’est pas grave l’autre a passée la nuit dehors à m’attendre. Un soleil de plomb déjà à 8H, je sens que cela va être une bonne journée.

Seconde étape pour rallier cette fois ci Thann. Le parcours a l’air un peu plus corsé que la veille sur l’altigraphe. Allez je suis confiante…au pire des cas j’abandonnerais au bord de la route, c’est sur le chemin du retour de la voiture.

En partant du markstein je trouve enfin mes vaches qui broutent dans les près…je fais des présentations rapides car déjà monsieur le guide me stresse pour ne pas perdre de temps. On a plus de kms à faire et surtout il faut que je rentre tôt. Ok pas de reportage photos aujourd’hui, en plus la situation ne s’y prêtait pas non plus.

On est parti effectivement sous le soleil mais pour se précipiter dans la brume de la plaine. C’est franchement dommage car la descente vers Geishouse se faisait bien à découvert à travers les pâturages, mais zéro point de vue possible. J’ai l’impression qu’on descend même sous le niveau de la mer et ma garmin m’envoie des signes de détresse. Plus de signal gps, elle bipe dans tous les sens…ça y est on a franchi la barrière du bas rhin, elle n’a pas supportée le changement d’air…

On retrouve enfin le soleil sur Moosch mais aussi les premières grandes interrogations sur le balisage. Mais quelle galère ce secteur pour s’y retrouver. Un peu de chance, un peu de flair, beaucoup de lecture de carte et d’analyse du sol ; ont fait qu’on ne s’est presque pas trompés. Mais quel bol on a eu quand même, car en course à pied les détours, ça peut faire mal !

Après avoir survécu plus de 24h sur les ballons vosgiens, ma vache qui rit mourut écrasée contre l’airbag de ma poitrine que je n’ai pas… brutalement…dans une descente…en pensant que j’avais une remontée de lait…Voilà une belle histoire qui se termine mais heureusement j’ai réussi à garder sur moi son enveloppe corporelle…en souvenir…que j’emporterais jusqu’au bout de l’aventure…

Après de gros moments de doute sur le balisage on arrive enfin sur les hauteurs de Thann.

On terminera finalement par couper vers le km35, lassé de chercher du balisage inexistant…et surtout à la vue d’un petit single menant directement au centre du village. La petite récompense de fin de parcours. Ahhhhh enfin du petit sentier comme j’aime.

Direction le parking où ma voiture nous attend mais pas dans l’état que j’espérais. Ohhh surprise on a fouillé ma belle traban fordienne. Plus aucunes affaires personnelles dedans. Mais quels crétins ces voleurs. Mais qu’est ce qu’ils vont faire de nos vêtements ? Ma couverture polaire de voiture ? Mes vieilles lunettes de soleil …mes chaussures de CAP de route qui j’espère leur feront bien mal aux pieds, le panier de pique nique que j’avais préparé, même la bouteille d’eau…Bref beaucoup d’effets personnels qui ont bien plus de valeur sentimentale que de valeur monétaire ( 0 valeur au niveau de l’assurance évidemment….même en tous risques….car laisser des affaires dans une voiture c’est accepter de se les faire voler).

Dommage de terminer cette journée de cette manière, ça c’est vraiment un coup de vache…

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Trail du Haut Koenisgsbourg

Seconde participation au trail du haut koenigsbourg.

Le parcours reste inchangé par rapport il y a deux ans. Mais le temps a fait son œuvre et je me souviens juste des grandes lignes : On monte tout le temps jusqu’au HK puis on redescend sur un sentier super sympa. Beau résumé. 

Pas de grosses difficultés en perspective. Facile à gérer en somme. Des beaux singles en montées qu’il faut faire à pied malheureusement quand on n'est pas à l’avant. 

Départ matinal avec des collègues de boulot ; 5H15, sonnez les trompettes, transperçons la nuit et la pluie et direction Kintzheim pour découvrir ce petit village vigneron encore endormi au pied de son château. 

On avait prévu un peu large pour être sur de pouvoir retirer les dossards, mais on est arrivé bien avant le rush. Pas de cohue à la salle des fêtes, on repart avec un grand cabas Carola et une pauvre pub perdue dedans.  Pour se consoler le tshirt millésime 2013 noir version homme (c’est clair que j’ai des épaules carrées mais enfin bon…) taille s mais immettable pour les gabarits XS, alors même si c’est asics, les petits africains vont encore être contents. 

D’ailleurs je devrais les dédicacer avant de les donner peut être qu’avec un jeu de mot à deux balles cela servira en plus à quelqu’un et le fera rire…

D’ailleurs pourquoi sur le 54km ils recevaient un gilet sans manche ? Ils ont payé plus ?

Le parcours ; Il montait autant la première fois ? 

Nonnnnnn ???? Siiii ahhh bon crotte alors j’ai vraiment régressée autant…

C’est incroyable, perdre autant de condition physique en si peu de temps ça fait mal au moral. En plus y’avait trop de gens autour de moi qui marchait sans cesse, c’est très démotivant pour se mettre à courir, voir impossible sur les petits sentiers.

Bref mauvais départ, mauvaise vague, mauvais jour, trop de fatigue musculaire comme diraient les copains, le résultat est sans appel. Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n’y est pas…

Et même en étant à la ramasse total je me chope en plus la crampe au mollet droit au KM18….re zut alors…Gros coup de massue en plus ça y est le loup m'a rattrapé. C’est terriblement frustrant de terminer de nouveau sur les freins alors qu on est en descente. 

Sinon je dirais que nous avons été particulièrement chanceux ce matin. Pas une goutte de pluie et une température idéale pour courir. Cela fait bizarre de quitter le village des rois avec du soleil et 23° pour retrouver la grise mine sur gunstett avec 13° ! Ohh on a à peine fait 50 km de plus vers le grand nord et on se croit déjà en automne. 

La consolation du jour 

non pas la bière j’en bois pas et il y avait un souci sur la tireuse…ohhhhh le scandale, le sacrilège…

le camion douche. Trop bien !!!!

On se croit presque à caracalla. Allez on se sert dans une mini tente comme des sardines pour se mettre à poil et direction le camion de la jouvence magique où l’eau chaude coule à profusion. Qu’on m’explique encore pourquoi dans 65% des salles des fêtes il y a de l’eau froide ! 

http://connect.garmin.com/activity/375974587

La sortie de Fanny….

Petit parcours vtt au départ de Châtenois organisé par un collectif d’amis en souvenir d’une de leur connaissance commune disparue. Une journée pleine d’émotion, de partage, de sport et surtout de beaucoup de nourriture…Une belle rencontre qui permet aussi aux uns et aux autres de partager un bon moment de convivialité qui se prolongea autour d’un festin à l’étang de pêche au pied de l’Ortenbourg.

Pendant que les uns s’adonnent à une marche sportive, les plus téméraires s’aventurent en vtt sur le massif de Brischbach Le circuit est préparé par un sportif local qui nous mènera aux ruines du château du Bernstein puis au rocher du Falkenstein. 25 bornes seulement est un condensé de vélo en tout genre.

Du macadam, du gros chemin pépère, des supers montées sur le petit pignon qui tient pas : ahhhh zut c’est comme si le vtt décidait à ma place que je devais monter en force,

des petits singles en descente avec racines glissantes qui ne m’ont pas loupées (au vue des bleues sur les jambes),

des chemins tranquilles qui mènent au château du Bernstein où je n’ai point vu de calèche mais juste un chien qui n’avait rien de diabolique vu qu’il nous a accompagné sur tout le chemin…

en passant par des Singles techniques, vtt sur le dos pour aller au rocher du Falkenstein

Bref un bon aperçu de ce qu’il est possible de faire dans la région et cela m’a l’air tout a fait sympathique, entre la chasse à l’ours et les histoires de chevaliers….

Un petit point historique:

http://legende-et-realite.blogspot.fr/2009/12/la-legende-de-lepouse-fidele-du.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_du_Bernstein

Parcours

http://connect.garmin.com/activity/373131052

Les foulées de la Moder Schweighouse

Une pluie de victoire pour L’OH…sur le podium pour les meilleurs chronos par équipe pour les hommes et les femmes, un doublée féminin pour la catégorie SF avec rachel et sandrine, les hommes comme d’habitude, pas de surprise toujours aussi rapides…pour boire de la bière. Même les petits se sont distingués, une victoire pour ma louloutte Laura qui a remontée comme une flèche pour terminer seconde. Toujours le groupe le plus nombreux pour manger de la tarte flambée. Bref une super bonne ambiance et une belle petite course locale.

Ma course

A la traine totale derrière mes copines qui sont en super forme elles ! Moi je suis en forme de bibendum mais malheureusement pas gonflée à l’hélium, ce qui me permettait de m’envoler. 

des plaisirs variés et retrouvés

http://connect.garmin.com/activity/360863323
Niederbronn-Celtic-borneberg-dambach-wintersberg-celtic-wassenbourg

En voilà une bonne idée de parcours...et la meilleure recette pour faire 1300 de déniv sur moins de 20bornes. Je dois dire que de ce point de vue la Niederbronn est la région parfaite. Tout en enchainant les singles on peut facilement faire des parcours bien sympathiques en reliant les différents spots de la région, le tout en suivant un balisage très simple.

En mode tranquillou en plus, sans crampe, avec juste une réserve d'un bidon d'eau de 75cl et 2 barres...

Quel rejouissance de refouler les sentiers après deux jours de vélo de route, trancher ses passions pour retrouver encore plus de plaisir...

Les balcons du Dabo

http://connect.garmin.com/activity/357171826#

Un parcours magnifique....
Comme tout bon vttiste qui se respecte, petit détour au Balcon du Dabo ce dimanche matin pour redécouvrir les sentiers lorrains. Dans le paysage de la rando vtt alsacienne il y a quelques randos phares à faire pour prendre du plaisir et celle ci figure au calendrier. Bien qu'il faille payer le prix fort. 10 euros d'inscription. Paf ! C'est vrai que le club n'a toujours pas évolué dans le bon sens concernant ce point là. Par contre question ravitaillement on ne meurt plus de faim au moins ; c’est déjà bien positif. Bon cela reste du basique sportif loin des contrôles Masterchef du club de wasselonne qui sont indétrônables...

Question parcours, rien à redire. La beauté des paysages et la qualité du terrain participent pleinement avec une météo plus que favorable à en faire une super rando.

Des singles à gogos, de la bonne montée qui n'en finit pas, des descentes à fond sur les freins, des faux plats pour la récup.....euhhhh quoi que non, y'en avaient pas....d'après ce que je me souviennes. Un peu de bitume pour maudire la route. Oui même si on est routier en semaine, le simple fait de devoir rouler sur du macadam sur son vtt c'est proprement scandaleux et même si c'est pour rallier deux vallées ! Euhhhh humour je précise. Je ne voudrais pas encore me faire incendier par mail car certaines personnes font une lecture directe et premier degré de mon bla bla….

Question technique, les bons pilotes seront servis. Je remercie d’ailleurs les brutes qui se sentent toujours obliger de me tailler un short quand moi je suis coincée sur une saillie et que je peine à me dégager. On n’est pas sur un format course et pourtant l’HOMME se sent acculer pour passer quand même à côté…Il ne peut pas attendre ! Cela doit être une question d’hormone…

Sinon question ambiance, c’est beaucoup plus calme que sur les mollets verts. L’effet vacances doit y être pour quelque chose. Aux contrôles accueil apathique, pas de pointage, la plaque ferait office de passe droit. Ohhh je ne peux même pas faire de blague à deux balles.

Je rigole intérieurement car une bénévole fait la remarque que l’on reconnait les alsaciens des lorrains et qu’on n’a pas besoin de demander d’où viennent les gens. Moi je dirais simplement que l’on cible les gens surtout grâce à leurs accents – et leurs tenues vestimentaires….Donnez moi de l’alsaco du nord de Lauterbourg, mélangez le avec celui de Diemeringen, mettez un peu de sel du côté de Bitche et vous aurez presque un semblant d’accent type lorrain du côté d’Abreschwiller…Si si c’est très raffiné et typique puis entendre parler tout d’un coup les citadins metzois parait presque hautain…mais charmant.

Petit problème technique dès le premier quart du parcours. Dany se réjouit déjà de me donner des cours de mécanique mais les crankbrothers lui auront fait presque perdre la tête et moi ma pédale. Dommage on ne prendra pas le risque d’embrayer sur le grand parcours et on terminera sur le 48km.

Merci dany de m’avoir accompagné sur cette belle sortie, c’est toujours plus sympathique de partager ces bons moments de sport. 

Sentier de la Moder en mode run&bike

http://connect.garmin.com/activity/350271232
http://connect.garmin.com/activity/350270839

http://www.netcomete.com/Lisa/sentiermodersouscriptionguide.pdf

Sentier de la Moder 92 km en mode run&bike avec Didier…en voila une belle idée que de découvrir ce ruisseau qui vogue entre Wingen sur Moder et Neuhaeusel.

Le challenge, réaliser le parcours en un jour mais le périple a été un peu plus long que prévu…la faute à bibi qui a oublié les clés de la voiture Finisher.

L’aventure commence à Wingen sur Moder où la rivière prend naissance après avoir parcouru quelques km depuis Zittersheim. Pour moi ce village c’était juste l’ancien bastion fort des cristalleries Lalique mais sans plus. Hormis le nom éponyme, je n’avais même jamais percuté pour savoir où passait cette rivière… et donc trouver le départ du sentier. Aucun road book sous la main, suivre juste les indications du fléchage de la X bleu voici le second challenge de cette aventure.

Perso la grosse difficulté de la journée sera de supporter la température caniculaire de 37° degré tout en courant au soleil. Le vtt étant là juste en récupération. Les camelbaks sont chargés à bloc départ sur les chapeaux de roues…dans la mauvaise direction évidement…zut il faudra juste aussi réfléchir un minimum pour terminer cette aventure.

Surtout quand au bout de la première heure je m’égare déjà en faisant le tour du propriétaire à Wimmenau…La route sera longue je le sens bien, surtout qu’il faut être super vigilent pour repérer les marquages. De tour en retour, en détours sur les chemins, cette quête de la X bleu sera un véritable jeu de cache cache par endroit.

La première partie de parcours à travers la forêt sera la plus physique et je m’étonne de trouver cette rivière en ces lieux. J’ai quand même un fort doute quand à la possibilité de faire emprunter cette partie par des personnes à mobilité réduite. Je me surprends même à mettre le petit plateau sur le vtt pour monter les quelques petites bosses de la forêt de la Petite Pierre.

Retour progressif à la civilisation, le cours d’eau prend de plus en plus d’ampleur pour se transformer progressivement en une belle rivière. Retour fulgurant aussi du soleil et d’une chaleur écrasante dès la sortie d’Ingwiller. Les promenades dans les champs sans une trace d’ombre ce n’est pas pour moi. Même si on est plus en forêt, repérer le balisage n’est pas chose facile et encore moins dans les traversées de village et les champs.

Des surprises viennent toujours agrémenter le parcours :

• „       Des travaux urbains qui barrent la route alors qu’on voit juste la croix au loin derrière les barbelés 1m50 et des barrières de 2 mètres.
• Mais que fait donc bison futé ? Où est l’itinéaire bis de déviation !!!!!  Allons bon c’est parti pour un passage en force en essayant de passer le vtt par dessus le barbelé sans crever les pneus (étant donné qu’on a oublié la pompe…)…et pourquoi c’est toujours moi qui me retrouve seule dans ces moments là…va savoir….pour tester ma lucidité d’esprit certainement !
• „       Un pré c’est vaste… quand on a le choix pour le traverser on y va au feeling en prenant à gauche ou à droite, et pour constater que dans 90% des cas c’était de l’autre côté qu’il fallait le prendre…

Bref la rivière commence à s’assagir doucement et cesse de serpenter une fois arrivée sur les hauteurs de Niedermodern. On peut enfin enchainer les roulements plus facilement et rapidement quand vient le moment fatigue où didier me demande si j’ai bien pensé à prendre les clés de ma voiture.

Les clés de ma voiture qui sont bien au chaud dans sa voiture…Euffffff non !

Fin du premier round alors, on ne réussira pas à aller au bout de notre challenge. C’est fort dommage.

Je suis un peu déçue car c’était mon petit défi personnel de l’été et je suis passée à côté juste pour une mauvaise organisation logistique. Mais bon avec le recul je me dis qu’il valait mieux ainsi car avec le temps qu’on met à trouver le balisage par endroit on aurait certainement terminé de nuit. Puis c’est comme si mon étourderie avait écouté la souffrance de mon corps qui luttait contre la chaleur. J’avais beau boire je n’arrivais pas à étancher ma soif.

Tant pis donc on décide de récupérer à vélo tout de même les fameuses clés et de terminer notre aventure le lendemain.

Deuxième étape…..

Les conditions météos sont bien plus favorables pour ce dimanche. Une légère douche sur les hauteurs d’Haguenau permet d’allonger la foulée. Confiant on est parti sans rien, j’espère juste qu’un gros orage ne va pas éclater. Cette seconde partie de parcours sera beaucoup plus roulante. Notre seul point noir aura été le balisage farfelu sur Drusenheim.

Déjà pour arriver sur le village on est confronté à une énigme se résumant à un champ de maïs collé au contre fort de l’autoroute. Pour passer de l’autre côté, il faut passer sous un pont. Alors qu’on se le dise on n’est pas dans les Minimoys, les tunnels ne sont pas cachés dans les champs de maïs….Cela ne sert à rien de le traverser en long et en large, il n’y a pas d’entrée secrète. Pour nous narguer un pilonne électrique semble se marrer en nous regardant s’agiter dans tous les sens et nous faire lacérer par les feuilles et les mauvaises herbes. Chacun commence à ratisser ce bout de No Men’s Land. Technique d’aventurier de bas étage, je prends un bâton et commence à tailler dans la pampa. Avec beaucoup de chance je trouve enfin le passage complètement recouvert de végétation et ce fameux chemin sous le pont.

On se sent soulagé d’être sorti de ce labyrinthe quand on se casse à nouveau les dents dans Drusenheim même. Ya vraiment rien à faire le balisage nous fait tourner en bourrique et il aurait été presque plus simple de prendre un canoë et de terminer notre périple sur l’eau. Tant pis on fera donc une entorse au parcours en essayant juste de rejoindre les digues du Rhin où on est sensé retrouver notre chevalet bleu.

Total changement de paysage sur ce dernier tronçon. A l’image de notre but qui se rapproche, de plus en plus les éléments de terre sont remplacés peu à peu par des éléments marins. Les animaux de la forêt laissent place aux promeneurs et badauds du dimanche, en passant par les surfeurs et navigateurs de « haute » mer. Adieu les lapins, bonjour les cygnes. Coucou les mouettes bye bye les biches. Notre aventure touche à sa fin, encore une fois un petit manque de balisage nous fait presque rater la sortie finale.

Un dernier papillon jaune cette fois vole autour de moi, je n’aurais jamais vu autant de variétés différentes à l’image de la richesse et la diversité des paysages qu’on aura traversés. Ce petit périple je l’associerais d’ailleurs à toute la valeur symbolique de ce petit animal. Il nous enseigne qu'il faut laisser nos désirs se réaliser, de changer nos vies, de créer de nouvelles situations pour améliorer notre quotidien. Dans de nombreuses cultures, cet insecte représente le changement et la transformation vers ce qu’il y a de plus beau. Tout comme le papillon, la moder ne cesse d’évoluer et s’adapte à son environnement. D’une petite rivière asséchée par endroit on termine sur l’image d’un fleuve qui lui aussi se jettera dans la Mer.

Merci à mon partenaire de sport qui aura été d’un calme, d’une jovialité et d’une sérénité d’esprit exemplaire… 

Vtt randonnée de la Mossig à wasselonne

Essai du parcours vtt en famille avec julien et laura...
Trop difficile pour eux.  On continue en partie sur la piste cyclable ce qui est très motivant pour eux car elle est super fréquentée. Retour par le parcours VTT, ce qui est bien aussi vu qu'on revient avec les matinaux du bike.

Une corrida de la streisselhochzeit comme jamais....holla seignorita….

Qui aurait cru, en tout cas pas moi. 4 coureuses en covoiturage pour rallier seebach afin de prendre part à la corrida. Donnez-moi du rouge, du rose, de l’orange et du bleu, et nous voilà ! Non non cela n’est pas fait exprès mais nos couleurs sont à la hauteur de notre humeur taquine et joviale. Niveau ambiance pour une préparation de course on est au top…Rigolade en pagaille et nuit d’ivresse avant l’heure. Pour l’échauffement on s’égare dans les champs du nord de l’alsace à la recherche des framboises frivoles…Miaim miam on va rester dans les champs et se régaler avec les fruits de saison. Mais bon on s’active tout de même, on ne voudrait pas jouer aux courges et mettre la honte aux autres copains de l’OH qui nous attendent au départ. De toute façon j’avais précisé que j’aurais fais une dédicace à Seppele si jamais on s’était vraiment perdus dans les champs…

Nouvelle édition avec des changements de parcours qui rallient les suffrages de tout le monde. On oublie la longue petite montée où on crachait le reste des poumons après le ravito au profit d’une petite descente pour revenir par l’arrière dans le village. Bon sur le premier tour, les zigotos tracent tout droit dans les champs ce qui n’est pas top mais au moins au second tour on a le droit de suivre le sentier. Ravito par contre mal placé entre la poussière et les feux de bengales…

Une ambiance de tonnerre grâce à un public très nombreux, une forte présence de l’oh, on repartira avec le challenge du nombre d’ailleurs.

Cette corrida reste toujours un moment attrayant que ce soit grâce au public, au format de course unique accessible à tous et la diversité des afters qu’on peut faire après. Mousse party dans les vestiaires sous dimensionnés. On commence par se laver dans un coin pour finir par se rhabiller pèle mêle dans le couloir avec les hommes. On a le choix entre les repas arrosées et copieux ou simplement le cornet de glace - deux boules svp !

Ma course

Niveau de préparation proche du zéro. Aucune ambition hormis essayer de courir au plus juste à défaut du mieux. Le moral est là mais pas encore la niaque. Dans mon bulletin j’aurais pu lire peut mieux faire…surtout maintenant sur des distances si courtes où j’aurais du finir sur le dernier tour beaucoup plus rapidement.

http://connect.garmin.com/dashboard?cid=13175631

252

KAPPS Nadia

Oh Morsbronn

38'43''

1976

SEF

0013

12,7

Trail des cimes et des crêtes

http://connect.garmin.com/activity/343000187

Et c’est reparti pour un dimanche de plus en mode course…mais ouiieee cela commence à devenir dur dur dur….surtout en raison des conditions météos plus que favorables.

Premier coup de chaud de la saison. Tiens cela fait bizarre quand cela arrive brutalement comme cela. Sensations de vertige, d’apesanteur à l’intérieur de la tête. Pourquoi j’ai l’impression que la nature bouge autour de moi alors que je n’avance pas plus vite que cela ? Donnez-moi de l’ombre ! Vite quittons les crêtes pour retourner au cœur de la forêt…C’est certes moins beau mais cela fait moins mal à la tête. Bon la prochaine fois je mettrais une casquette ! J’aurais certainement mieux terminé la course. Merci à toi didier de m’avoir tirée du début à la fin du circuit.

Un super parcours avec un « paradis de single » comme indiqué sur les panneaux le long des chemins, un concert rock au ravito, des parapentes qui volent dans un ciel bleu azur bref bref beaucoup de surprises et des paysages à fondre de plaisir.

Une première organisation au top…

pour ce nouveau rendez vous des amoureux des courses natures sur le col du Kreuzweg. Une course de plus comme dirait les mauvaises langues mais quelle belle course alors….

C’est étonnant d’ailleurs que personne n’eu le courage pour organiser quelque chose avant sur cet endroit magique. Le lieu et les panoramas parlent d’eux-mêmes, la nature, le dénivelé, les infrastructures, les bénévoles, y’a tout sur place. Un trésor est là, il fallait juste le cueillir, l’exploiter et c’est ce qu’à fait le COTOC. Et ils ont mis le paquet, par des petites attentions inédites mais qui créent la différence. Alors chapeau pour cette première qui est une vrai réussite malgré un parcours très physique. Qui aurait cru sur une petite distance pareille….

Un pack coureur riche en surprise…

Je prends conscience qu’aujourd’hui de la signification et l’utilité de chaque accessoire donné en gage de cadeaux.

• Un dossard personnalisé histoire de ne passer l’inaperçu sur le parcours et faire genre wouaisss j’ai plein de fans qui m’ovationne quand je passe à côté d’eux. Oui la star c’est moi aujourd’hui. Ce n’est pas la fête Nationale mais celle de bibi.
• Sur ce même dossard, en petit, pour pas trop le voir, l’altigraphe du parcours. Alors là j’ai comme une remarque à faire. Moi qui en aie quand même fait un certain nombre pour des randonnées vtt, je ne pense pas que celui-ci soit représentatif du parcours.Non ils nous ont menti et caché la vérité pour pas qu’on prenne un ticket d’entrée au parc aventure de Breitenbach et qu’on se barre sur une tyrolienne ! Quand je regarde dessus je vois quelques petites bosses mais aucune montée infernale et encore moins de falaises qui apparaissent d’un coup comme ça à peine partis. Un litre de sueur perdu dans la première montée, ça me dégouline sur le visage, miam miam le goût du shampooing sur les lèvres….ça tombe bien il est à la figue, il me semble que c’est bon pour la santé.

• Ahhhh ça y est je sais aussi, la bande de tissus médicale du pack coureur c’était pour se mettre sur le front pour s’éponger dans les montées.
• La boite de pansement c’était pour les descentes à pic en cas de blessures : hop un petit sparadrap direct sur la plaie, car ici messieurs dames on respecte la nature ! On ne va pas la saloper avec des traces de sang.
• On a aussi le savon et la fleur de douches pour se laver à l’arrivée, bien utile pour se frotter surtout si d’autres on descendu comme mois en mode luge la petite bosse après un pont en bois suspendu…enfin le pont de singe avec Jane en pleine action de jeu de trampoline devant un tarzan qui s’amuse à rebondir dessus….
• Ahhh oui d’ailleurs c’est là qu’il fallait fixer mon bras sur la corde avec la bande fluorescente fournie ; peut être que j’aurais moins valsée surtout qu’à ce moment là je n’étais vraiment pas bien victime de mon coup de chaud. Non je ne suis pas sur le bateau pirate du Didiland mais c’est presque pareil niveau sensation.

Mais qu’on se le dise… ce n’est pas un parcours difficile mais exigeant comme dirait l’autre….Il faut en arriver à bout. C’est pour cela qu’on a eu un maillot jaune et non un maillot à pois rouge malgré le classement « montagne » que l’organisation a mis en place par l’intermédiaire de pointage intermédiaire sur les portions de fortes montées. (Au passage génial comme idée et surtout c’est inédit en Alsace.)

De toute façon si je devais avoir un maillot ce serait celui du team Cochonnoux pour le plus rapide mangé de tranchettes en passant au ravito. 

Xterra France à Xonrupt

XTerra France à Xonrupt, second essai de triathlon nature sous les rayons du soleil cette année…ouf cela fait du bien au moral à défaut d’être préparée correctement. Alors ok je fais du sport tout le temps mais bon côté vtt il me manque quand même pas mal de km dans les cuissots. Par ailleurs, l’eau d’un lac de montagne cela n’a rien à voir avec une petite gravière de campagne surtout quand 700 autres schtroumpfs bleu battent des bras et des jambes et font un remoud d’enfer dans l’eau. OHhhhh on se calme les gars….

Décidément ce genre de natation je vais commencer par détester cela. Pourtant cette année, je me serais jetée à l’eau plutôt rapidement par rapport à l’année dernière mais bon après la psychose commença…. Autant l’année dernière j’avais essayée de nager mais là ; cette année, rien à faire. Le pire c’est que je me suis laissée influencer par mes compatriotes brasseurs qui survivaient plutôt bien à l’épreuve. J’ai lâchée l’affaire et terminée comme un canard pour sortir de l’eau.

Aujourd’hui je m’en veux et j’ai trop honte car c’est vraiment sur cette partie là où je pourrais facilement gagnée 5 min additionné au temps perdu à la transition vélo où j’ai mis tranquillement mes petites affaires sans me stresser.

Mais bon comme dit, il fait beau et chaud, l’ambiance est au top, tranquillouuuu la mémère se lance sur le vtt.

Et là je commence à m’énerver. Bloquée en sortant du parc à vélo, premier cadavre de pseudo vttiste qui s’est pris une racine en sortant, 150m après rebelote, deux autres qui se foncent dedans; on est même pas encore arrivés à la zone de ravitaillement….Et bien cela promet pour le reste du parcours !

Plan galère donc pour remonter ce beau petit monde. Pas toujours facile de dépasser sans se mettre en position délicate. Heureusement j’ai la voix qui porte et mes gloussements de pintade en effraye plus d’un. Le pire danger dans ce genre de parcours s’est toujours les autres et le changement de trajectoire improvisé. Plus de cris que de mal. Je remercie dame chance de ne pas crever, pincer, ou casser le matos comme tous ces gens sur le bas côté. Cette épreuve est d’autant plus ludique quand je rattrape enfin mon collègue de boulot et lui met une pression d’enfer pour garder le rythme.

Première partie tout en montée, cela ne pardonne rien. Le terrain est limite sec, c’est presque un plaisir de grimper et de découvrir les chaumes que je n’avais pas vu l’année dernière.

Pour la descente, j’ai l’impression que l’organisation a rajouté de la difficulté. Je pense vraiment qu’ils ont arrosé certaines parties et mis des sangliers dedans pour remuer la terre. Comme s’est trop facile de rouler sur certains sentiers, allé traçons une portion un peu freeride dans la pompa….Par sécurité ils ont mis de la rubalise pour signifier le tracé. Trop sympa, moi j’ai eu peur juste en voyant le truc m’arriver dessus. Mes warnings se mettent en route : Danger, danger, danger….Je ferme les yeux 30 secondes et ça passe. Non mais ohhhh c’est quoi ce bordel faut piloter avec son guidon et viser entre les racines et les sapins maintenant ; je ne suis pas préparée à cela….Je n’oublie pas la fin de parcours avec des nouveaux tremplins en bois sur des palettes. Mais heureusement qu’il ne pleuvait pas. Yalllaaaa dernier cri d’appréhension et me revoilà vivante sur mon vtt. Je m’étonne moi-même : pas une seule trace de chaine sur mon mollet, mais comment j’ai fais ????

Dernier changement de monture pour partir en mode cap. Petite douleur dans la cuisse, je n’ose pas forcer et pars en mode récup en trottinant. Sauf que j’ai gardé ce rythme pépère bien trop longtemps et j’aurais mieux fait de ne pas me focaliser sur ma cuisse car elle travaille peu en montée de trail. Mais bon comme d’habitude j’ai trop géré mon effort pour ne pas terminer sur les rotules. Le parcours quand à lui est aussi très boueux sur certaines parties. Ils ont du passer un coup de labour pour creuser des ornières et les arroser par la suite. J’ai aussi l’impression qu’il a été modifié par rapport à l’année dernière en le rendant plus ludique. En plus le paysage avec l’odeur du foin qui se prépare un vrai régal. J’en garde encore un peu sous la semelle pour terminer sur une once de sourire.

Une autre manche m’attend encore maintenant. La traversée du lac en pédalo avec mes enfants. Et se ne sont pas eux avec leurs jambes de Kate Moss qu’on va pouvoir traverser le lac…. Allez moussaillons….voguons vers d’autres flots….

A retenir cette année : une ambiance vraiment au top sur ce genre de compétition. Beaucoup d'entraide entre les concurrents même en cas de chute et pépins mécaniques. Un soleil au zénith....mais pas ma performance.

http://connect.garmin.com/activity/338970175
446. 223 F KURTZ KAPPS Nadia - 37 589 17:06 412 3:47 576 428 2:00:32 465 - - 366 36:24
2:57:51 +1:13:26 20 SF

Combinaison Orca TNR

Combi Orca TNR achetée cette semaine

Je pense que cela taille plutôt grand car je rentre parfaitement bien dans le XS.
Agréable à mettre en place et surtout facile à enlever. 

Excellent rapport qualité prix sur Wiggle. En en plus livré avec des petits gants.

Pas du tout l'impression d’être oppressée dedans ni d'être une knacki Herta...faut essayer maintenant de nager avec