Ne jamais croiser un pingouin à la piscine

Ce matin, surprise je croise notre lolo Gump national à la piscine. Evidement il se passe ce qui doit se passer dans ces moments là, la confrontation avec un public critique de vos modestes progrès en crawl. Impitoyable comme situation. Mais tellement instructif car c'est souvent là que l'on remarque que d'un élève à un autre, d'un maitre nageur à un autre, les bases pour apprendre la technique du crawl ne sont pas les mêmes ! Mais riche en enseignement chaque nouveau conseil est bon à prendre. Je me suis aussi rendue compte qu'il était presque indispensable de ne pas se livrer à soi-même à des séances d'entraînements seules car elles sont totalement inéfficaces.

Donc je plaisante bien évidemment quand je dis qu'il ne faut jamais croiser un pote à la piscine, bien au contraire, il faudrait y aller à chaque fois avec quelqu'un qui sache nager, afin de progresser plus rapidement bien sur ! Moi aussi je voudrais devenir un pingouin !

C'est quand même dingue de se dire qu'un pingouin arrive à nager le crawl et pourquoi pas moi !!!! J'ai quand même moins de ventre !

27/03/10 : Un audax sans audace ! Kilstett 100km

Personnes présentes du club : Gillou ( et c'est pour lui qu'on est venu), Charles, Joseph, le tandem Elisabeth et Fred, JC dit le torero en motobécane.

Certains je sais, attendent avec impatience mes commentaires par rapport à ce premier audax route. Bon une chose est sûre, les audax c'est pas pour moi. Cette histoire de vitesse moyenne de 22km, c'est beaucoup trop lent sur ce type de profil plat. J'ai jamais vu qu'à cette moyenne, on soit en plus obliger de freiner dans les descentes, déjà freiner dans une descente, mais quelle absurdité ! Oublié les 100 en cadence de pédallage aujourd'hui. Par contre, j'ai jamais autant freiné et parlé. D'ailleurs les capitaines de routes, ne croyaient pas qu'à Soultz on était capable de faire 100 bornes en discutant, et bien si ! Ils pensaient nous faire taire dans les petites bosses des vosges du nord, mais non, toujours pas. On a quand même fini par les user moralement et finalement pour se reposer les oreilles, on a plus eu qu'un seul capitaine de route. On pensait pouvoir accélerer le rythme mais déjà il nous demandait clairement de ne pas le dépasser. Rigueur, rigueur, discipline. Ohhh les audax c'est sérieux. Finalement un passage pluvieux, nous a permis de décrocher avec torero pour enfiler nos kways et c'est l'unique moment où on a réussi à faire monter le cardio. Heureusement sur problème technique, on a décroché une partie du groupe, et grâce à cet incident on a pu monter le rythme mais malheureusement certaines personnes ne suivaient déjà plus. Dire que j'avais pu faire mes 100 en fréquence et une vitesse moyenne de 28 sur 7 km ! Mais pas d'audace en audax; houllallal c'est contraire à toutes les régles en vigeur comme rire et parler tout le temps, faire des blagues stupides en roulant dans les flaques, se déporter sans préter trop attention, parler de vtt, houllaaaa, on s'est pas fait que des amis aujourd'hui. Même sur les derniers km, malgrès une échappée fort discrète de ma part, sans parler, on m'a clairement rappeler à l'ordre. Non les audax c'est pas fait pour moi... On était venu pour surpporter notre Gillou, et bien pari bien remplit, on a mis le "feu" pour ainsi dire dans le pelotton.
On s'excuse d'ailleurs auprès de tout le monde de cette agitation, mais malheureusement à part mettre de l'ambiance, on avait pas grand chose à faire...et promis on ne reviendra plus...excusez pour le dérangement !

24/03/10 C'est le printemps

Ca y est, il est bien là, on l'attendait depuis tellement le longtemps.

Le printemps est là , au coeur et le long de nos chemins route ou vtt qu'importe. J'avais dis qu'on rangait les cuissards longs et les chaussures d'hivers, et bien c'est fait. Corsaire, manches courtes, même sans coupe vent, aujourd'hui c'était le jour pour sortir le vélo. Au programme, Mommenheim et finish au Haut-Barr, puis retour. Mon Philippe Lucas étant là, je surveille bien ma fréquence de pédallage = 100 ! et j'ai droit à un compliment de mon coach de mari, quand je roule de cette manière, il ne s'ennuie presque pas...! Comme quoi l'espoir fait vivre et progresser...

L'Aller est mené tambour battant mais sur le retour, invité surprise le vent. Tiens cela me manquait ! On croise aussi les jeunes retraités de routiers de Saverne, que l'on reconnait bien à leurs maillots, d'ailleurs j'en ai touché 2 mots à mon coach de président. Mais quelle honte, même pas le maillot du club ! Entre président, on ne se salue que grâce à ce petit détail, c'est comme une confrérie,  et quand on a signé, faut assumer ! Comment reconnaître les gens sinon, ahhhh oui grâce à moi qui reconnait tout le monde rien qu'au gabarit, normal ne mettant jamais le maillot du club...pardon !

Le printemps est là, les cuissots sont nouveaux à l'air....Youpi ! En montant au château je lorgne avec envie les petits sentiers à côté...Vtt, Vtt, Vtt, calme l'heure est bientôt venue et les jambes seront au moins tout de suite opérationnelles cette année. Dernier nota pour la montée du Haut Barr qui m'a parue bien facile par rapport à notre Pfaffenschlick...comme quoi à Didiland on habite quand même une belle région pour apprendre à grimper....

d'autres photos drôles sur http://picasaweb.google.com/nadiaVTT/Route#

Les gambettes à l'air, c'est parti

Youhouu, super en moins d'une semaine on est passé de la version collant long doublé - veste au short, et Tshirt. Super les gambettes ont retrouvées leur liberté. Vive les poils à l'air. Quoi !!!! j'ai des poils au bras comme tout un chacun !

21/03/10 : Comme dirait les Noirs Dés "le vent nous emporteras"

Sortie Route 50km à Schoenenbourg avec MarcS.

Mais quel bon choix cette année de faire la version route à la Rando des Handicapés. Comme d'habitude le sol était bien boueux, donc direction bitume, et découverte de ce circuit avec MarcS qui a eu la gentillesse de patienter avec moi pour partir vers 9h30...Merci car seule, je crois que je me serais envoler. Donc pour reprendre les Noirs Désirs je dirais

"Je n'ai pas peur de la route" =  mais oui , c'est pas le plat pays qu'on a fait, c'est dingue le nombre de petites bosses sur ce circuit, qui aurait cru, version touristes du dimanche on découvre...même la décharge géante de Wintzenbach ! On se croirait en bretagne avec des dunes de sable...on croirait !! de loin avec les mouettes !!!! bon c'était des bestiolles noirs, quoi que avec un peu d'imagination que diable !

"Faudrait voir, faut qu'on y goûte " =

ben ça oui, on a pris le temps de s'arrêter pour prendre le goûter, même que c'est pas moi qui l'est proposer ! Mais affront suprême, MarcS me propose de partager sa barre de céréales, je dégaine mon gâteau maison que je partage avec plaisir avec quelqu'un de simplement humain, Vous pouvez pas savoir vous les hommes ce que c'est d'avoir ce sentiment perpertuel d'infériorité physique, quand on vous voit à côté de nous, en mode "zen, cool, détendu" et que nous, on l'est beacoup moins !
Mais quelle joie aussi de rouler avec quelqu'un d'un niveau équivalent.

"Des méandres au creux des reins, Et tout ira bien" = on peut même s'amuser à passer à toute vitesse devant les radars fixes, 48 km avec les bras à l'air..

"Le vent l'emportera" =

mais on a beau faire muse muse à rattraper les gens, le vent on l'a quand même bien sentie, et surtout de côté...houla, et on a scruté le ciel on se disant que le vent emportera la pluie mais non sur les 10 derniers km, on a pris notre douche, et plûtot chaude même, 17° de l'air, alors qu'il y a une semaine, y'avait encore de la neige !

Pour terminer la journée : petite séance de natation pour faire travailler les bras ! Petits à petits, petits progrès, les bras se coordonnent doucement, y'a plus qu'à les sortir correctement pour sentir la vague et se laisser porter ! Sentir la vague, je crois entendre Brice de Nice, moi les seules choses que je suis capable de sentir sont la nourriture, l'odeur des gens, les problèmes mais une vague ! Sentir la vague...

18/03/2010 :The Black Power

Piscine + sortie route de nuit : 70 km - Mothern – Drusenheim par piste cyclable

Personnes présentes : Benes, Gilou, JM.

Y’a des jours on se dit que les événements se lient contre soi pour vous empêcher à faire votre programme, rien que pour tester votre degré de motivation.

17H, zut je suis encore dans le buro de mon chef, bon il va falloir que je m’échappe pour tenir mon timing. Heureusement le téléphone sonne, petit sourire et je m’esquive. Forcément quand on commence à être en retard, rien ne se passe comme d’habitude, la pointeuse en panne, direction atelier pour pointer mais évidemment porte bloquée de l’intérieur, course à travers l’usine pour rentrer de l’autre côté, résultats des courses déjà 15 mn de retard. Dans ce cas de figure, on s’attend à trouver tracteurs, pelleteuses et chauffards du dimanche sur sa route et bien sur ce fut le cas !

L’arrivée à la piscine semble déjà toute une aventure, et c’est parti pour une heure de batifolage dans l’eau. Premiers progrès sensibles, j’arrête d’avaler 15 litres d’eau par longueur et le premier AR est une réelle victoire.

Sur cette bonne impression, retour voiture et s’est parti pour la visite touristique de l’alsace du nord à la recherche de Mothern et de la maison de Gilou. J’arrive la première, mais il faut encore remonter mon vélo. Terrible épreuve du micado pour une femme : mettre 2 roues et resserrer l’ensemble.

Je demande à Benes de l’aide par acquis de conscience. J’avais bien choisi mon expert technique ! Roue avant montée à l’envers : tiens je comprends maintenant pourquoi mon compteur ne n’a pas marché ! Freins mal serrés, roue arrière mal pas serrée. Mais bon cela ne m’a pas empêché de faire les 70 km ! Ambiance bien sérieuse durant le parcours, logique aucun Pacman parmi nous…Quelques tirages de bourgs pour ces messieurs, mais rien de méchants. Les kms défilent assez rapidement, évidemment on a réussi à perdre JM à 300 de l’arrivée !

16/03/10 Le lièvre dans la tortue pour le bonheur retrouvé

Challenge du jour, éviter les crampes. Petit échauffement sur la terrasse, puis départ à la tortue. Allure de Tortue que je m'éfforce de garder sur 3km au moins, puis the miracle, rien à l'horizon niveau crampe, donc lancée dans mon élan, la petite tortue se transforme en petit lièvre pour embrayer directement sur 10km mais à faible allure. Et puis, rien, pas de crampes, YOUPPIIIIIIII, 10 bornes tranquille, on oublie ce satané chrono pour l'instant pour goûter au simple bonheur de pouvoir de nouveau courrir 10 bornes, trrrrrranquillllle certes mais bon ! Trop contente, même s'il faisait déjà nuit en rentrant !

14/03/2010 Ausweiss Bitte !

Participants : JOK, JC , MarcS, Laurent et moi, 90 km route, température 5°C temps moche et vent de face évidement sur le retour. Ausweiss bitte, c'était comme cela que j’avais nommé la sortie mais d’autres titres me viennent en tête.

1. La Revanche des Sites

Parce que à la base aucun routier (mais où sont-ils donc tous passés, Soultz à la base c’était pas un club de routier ! No comment) mais uniquement des vttistes qui basculent du côté obscure de la force, noir comme le bitume ! Avec même notre Torero, très sport d’ailleurs qui est venu par pur esprit de solidarité ! Car oui, c’est cela qui est important après tout dans un club, rouler ensemble aux fruits de quelques sacrifices pour chacun : accepter de rouler avec une vitesse moyenne moins importante, être d’accord de faire de la route, essayer de parler avec ces collègues, essayer de suivre, attendre une demi-heure dans le froid pendant que madame fait pipi…

2. C’est pas le vélo qui fait l’homme.

Là encore chapeau bas à JC qui est venu avec son MOTOBECANE d’origine. Un authentique, un vrai, avec juste quelques modifications mineures. Le contraste est d’ailleurs saisissant avec le Synapse de Laurent mais pourtant les deux ont fait le même parcours, comme d’ailleurs le Vtt de MarcS monté en profil route. L’important est de participer comme dirait un certain Coubertin.

Bilan de cette première sortie club route par les vttistes : SUPER sympa
Première partie malgré les bosses bien roulante. Normal on avait le vent dans le dos, mais je ne m’en été pas rendue compte… Je surveille bien ma fréquence de pédalage (sur les consignes de mon coach) pour atteindre ces fameux 100. Mais oui, c’est possible d’y arriver, pas tout le temps, mais bon c’est faisable. Je trouve même plaisant cette première partie, je trouve que la différence de niveaux ne se fait même pas trop ressentir (surtout par rapport au vtt où je me serais déjà retrouvée seule depuis le 10ème km.). Puis vient le moment inéluctable où on change de sens, et le vent aussi. Donc seconde partie, beaucoup plus galère pour suivre. Malgré les efforts de mes mousquetaires pour me couper le vent. Puis vient le moment fatidique de la pause pipi où je suis obligée de me mettre à moitié à poil. Et là, le vent s’est engouffré en moi par l’intérieur, le saligot, et petit passage à vide sur le vélo. (ou alors c’était parce que Marcs m’a abandonné lâchement seule avec les furieux, sans un mot, et que cela m’a miné mon soutien moral dans l’effort…)
Heureusement les 2 hommes forts (JOK et Laurent) mettent la main à la pâte, et se relaient pour m’aider à affronter les derniers kms. Bon de toute façon, il fallait bien les fatiguer ces deux là.

Apéro et repas chez Laurent qui nous a gentiment invité à sa table de grand chef cuistot. Je n’ai jamais rien mangé d’aussi bon! Mais quel virtuose de la cuisine cet homme là, et une vrai fée du logis de sur croit qui s’est recevoir. Euhh pardon Laurent d’avoir vider ton congélo et toutes tes réserves de nourriture ! Un conseil pour les autres, si vous avez des restes à terminer, que vous n’osez pas affronter seul, invitez moi après une sortie vélo, je suis prête à tout manger ! Non sans déconner maintenant, c était vraiment un très grand moment de délire de manger chez Laurent.
Merci pour cette journée les mousquetaires, c’était super sympa, même si avec tout çà j’ai pas pu m’entraîner pour mon triathlon…
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Tria quoi !

Triathlon, triathlon, qu'il me semble difficile cet but.

Objectif de ce WE, réaliser les 3 disciplines. Mauvais départ déjà aujourd'hui en essayant de courrir. Cela commence sérieusement à m'inquiéter d'ailleurs, et me laisse bien songeuse...bon au pire des cas, la course à pied est la dernière épreuve, mais s'il faut 5 km pour passer des crampes, cela ne le fera pas ! Donc demain journée test !

Journée test du 14/03 tombée à l'eau, vu le programme route ! ça me met la pression...

De Mobydick à Flipper

2ème cours de natation, ouf, oubliée le stress et le total n'importe quoi de la première séance. Mon cas ne serait donc pas perdu ! Super drôle cette deuxième séance, surtout quand on passe de la planche, à une mini planche, un flotteur, un tuyau et rien. C'est dingue on se croirait à une séance de natation de Mister Bean, et c'est dingue comme les mains, cà flotte pas ! Du progrès donc, de mobydick à flipper, prochain stade Arielle la sirène, mais y'a du boulot et des longueurs en prespectives !

07/03/10 : VTT dans la neige toujours et encore !

J'crois qu'on est maudit, tous les 7 du mois, à vélo, la neige tu affronteras ! Juste 2 courageux petits pois verts : Jean-Yves toujours à vélo et Dany.

Donc 1 - 2- 3, nous serons que trois,
à affronter le froid,
1-2-3, on irons dans le bois
(a chanter gaiement sur l'air des enfants...)

1 -2-3, les plaques du verglas, on affrontera

1-2-3, le vent nous balayera le froid
(-4 % seulement et quand on a fait du -10, ça passe sans pb) dans le visage, glagla

1-2-3, les gamelles tu t'en prendra,
(et aujourd'hui j'étais championne du monde)

1-2-3, dans la neige, tu rouleras, et oui, je l'avoue, çà ira
1-2-3, pour te réchauffer, du portage, tu feras.
1-2-3, pour passer le petit plateau, les doigts tu metteras (mauvais point pour mon superbe cable en carbone kevlar !!!!)

Donc en résumé, rien à regretter pour cette petite sortie, fort nécessaire pour l'entrainement du Doubs. Je me suis étonnée à pouvoir rouler dans la neige, rien à voir avec le 7 février. Et à choisir, je préfére me rouler dans la neige que dans la boue. Je m'excuse auprès des petits pois qui ont du m'attendre à chaque gamelle, mais bon au moins moi j'ai eu le courage de rouler ! Et puis c'est vrai que je ne voulais pas rester une mauvaise impression face à la neige en vélo. Car y'a rien à dire, des paysages tout blanc comme aujourd'hui avec un soleil au Zenith, j'espère ne plus en revoir avant la fin d'année, mais c'était magnifique ! Et c'est super drôle de faire sa trace dans la neige...quand on maîtrise un minimum.

Du fractionné, une fillette qui pédalle, et paf le chien

Soleil de sortie, météo qui annonce un samedi catastrophique, vite sortons les chaussures de sport. J'enbarque ma fille qui se faisait une joie de m'accompagner en vtt, le premier km seulement ! Comme dirait l'autre le bonheur ne dure jamais longtemps. Je prends cela avec flegme, cela me permet de travailler mon fractionnée en courant, mon portage vtt en courant, d'ailleurs c'est honteux le poids que peux avoir un vélo enfant, je réussis même à faire une descente sur son vélo, car mademoiselle préfère courrir quand ça descend !

Un sale petit cleps, commence à nous courser, et le petit gredin, va nous escorter sur tout le trajet. Au moins, lui ne râle pas. Mais le malheureux décide,à un moment de traverser la route, nous on est un peu en contrebas, je vois juste les voitures qui ralentissent, et puis je pense, Paf le chien ! En tout cas, on l'a plus revu ! C'est chouette de courrir le vendredi, mais quelle aventure !

Comme une baleine dans l'eau

Un de mes objectifs cette année est de participer à un triathlon. Mais pour cela j'avais négligé le fait qu'il faille savoir nager correctement. Petit détail , mais certes pas anodin. Pratiquant régulièrement la brasse, je me vois pas arrivée le jour j, sauter dans l'eau comme une grenouille et faisant tranquillement les longueurs. Donc je me rend à l'evidence, il faut que je me fasse aider pour apprendre à nager le crawl et vite !
Première séance ce jour. Triste réalité qui me rattappe, je suis une baleine qui se débat dans l'eau sans avancer. Encore un fois, j'entends les mots de "coordinations, fréquence de battements..." qui résonnent encore dans mes oreilles. Je pensais en quelques séances, que cela serait bon, mais je crois que finalement je vais devoir prendre un abonnement. Ahhh la technique et moi !

02/03/10 :Dépasser ses douleurs en regardant les éléphants roses !

Sortie de bureau, soleil dans les yeux, ça c'est bon signe pour aller courrir.

Objectif de cette semaine : arriver au moins à terminer le parcours habituel. Je pars doucement, mais ça y est cette foutue douleur reprend vers la fin du 1er/4. Objectif en tête, soleil qui brille encore derrière les éléphants roses qui se promènent dans le ciel (les nuages quoi), je force le pas, tant bien que mal, en me concentrant sur les pachidernes roses autour de moi, et la musique...arrivée sur le dernier 1/4, la douleur disparait, c'est magique, malgré la montée, j'arrive même encore à accélérer, et plus de douleur ! Comme quoi dès fois, il faut juste savoir outre passée un mauvais moment car en course à pied rien n'est joué à l'avance ! Une première cette année, courrir les cheveux à l'air et rentrer avant la tombée de la nuit noir !