on se souvient à peine ce que c'était la pluie mais pourtant une fois qu'on se retrouve complètement imbibée d'eau cela ne nous manquait pas du tout ! Bizarrement dans de telles conditions, finalement un sac sur le dos cela ne pèse pas du tout lourd et ne donne pas du tout chaud. On relativise beaucoup en se disant que si je n'arrive pas à courir maintenant mais que vais-je faire une fois au mont blanc si le temps se gâtait !
Je prend discrètement le remonte pente pour boire un vin chaud. Mais zut j'en aura pas sur le parcours.
Mais faut bien s'entraîner aussi par ce temps de chiottes, comme dirait l'autre, ce qui nous tue pas nous rend plus fort...13 degrés quand même ce soir mais complètement trempée au bout d'une heure de course, un petit exercice de fractionnée, un coeur qui monte jusqu'à 182 sans se rendre compte de rien, tiens c'est bizarre la pluie inhibe tous les efforts physiques !
Et puis c'est bien connue cet adage qui dit, qu'il vaut mieux courir sous la pluie pour ne pas être mouillée !
Et puis c'est bien connue cet adage qui dit, qu'il vaut mieux courir sous la pluie pour ne pas être mouillée !
Super Nadia et on y croit !!!
RépondreSupprimerMême pas peur la montée du Grand Ballon demain !
Gère bien la fin de course à partir du col du Haag et attention aux crampes dans la descente vers l'Hôtel du Grand Ballon
J'attends avec impatience ton récit ...si tu en reviens !!
JCL
snif,snif, pourrais pas faire la montée du grand ballon, mon coéquipier m'a laché, et voulait pas y aller seule, donc je me réconforterais dans les vosges du nord...
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