Après un samedi tout pourri sous les nuages, j'avais peur ce matin de devoir affronter le brouillard. Mais non, il n'en est rien, si il y a une constante c'est bien le soleil au Wintersberg. Ce matin, RDV avec Alain, et en guest stars les Vosgirunners en personnes (très sympathiques d'ailleurs...) Rien de tel pour vérifier ma version GPS du tracé. Bon évidemment ma version de parcours n'était pas tout a fait exacte. Il faut bien dévier de la croix bleu pour monter, sans piolet, un mur d'une centaine de mètres. Mais bon pour le parcours si j'avais en plus lu leur descriptif sur le site je ne me serais pas trompée. Mais bon, rien de grave, je constate juste que ce soit en vtt ou en trail, certains aiment mettre des montées impossibles pour jouer à 1,2,3 soleil et arriver le plus loin possible.
Pour cette dernière reco, je me suis sur-équipée comme il fallait avec mon camelbak bien utile aussi pour caler mon bras gauche en descente, et mon cardio qui évidement a fonctionné sans problème entre la maison et le départ . Après un petit combat avec la ceinture, il réceptionne enfin de nouveau le signal de mon coeur, ouf je suis soulagée, mon coeur bat encore, si jamais j'avais un doute !!!!!
Bref la montée ce passe bien, je suis rassurée, je ne suis pas la seule à marcher sur les portions très raides de ce parcours. Bien sur y'a des capris de vosgirunners qui montaient sans trop de difficulté ! A la recherche de mon souffle dans les lacets, un gentil biquet me signale que je respire très mal....ahhhh c'est donc cela, mais euhhh oui, mais comment que on fait alors !!!!!! j'en suis consciente depuis un certain temps, mais j'ai demandé une greffe de poumon en or d'un dauphin et on me la refuser contre un prétexte futile de compatibilité homme et animal.
De toute façon, le terrain sera bientôt à mon avantage vue la descente qui s'annonce. C'est fou mais en l'espace de quelques jours, les sentiers se sont vraiment transformés et recouverts d'une bonne couche de feuille qui rend la descente un brin plus technique. Mais c'est tellement magnifique de pouvoir jouer la biquette dans les Singles, et c'est un vrai plaisir de sautiller entre les pierres.
Dans la descente, je perds progressivement mes compagnons de chemins, tout d'abord les vosgirunners qui attendaient deux de leurs brebis égarées puis Alain, victime de maux d'estomac...Mais heureusement il reviendra à mon niveau pour affronter la dernière difficulté de la montée vers le stade.
J'entends déjà au loin le son des sifflets des joueurs de foot, le stade est au bout du chemin, c'est bien moins romantique que le son des cloches des alpages mais on va s'en contenter. Après tout c'est aussi une espèce assez bizarre d'animaux les joueurs de foot. Je n'aurais finalement pas fait mes 2 tours de stade pour clôturer le kmage de ce parcours mais bon cela devrait le faire pour dimanche...Et puis de toute façon comme le dit la comptine de la chèvre, la cousine de la biquette "Il était une chèvre, De fort tempérament. Qui revenait de la montagne...etc, etc, après il lui arrive que des malheurs et finalement "Lorsqu'elle ouvrit la porte ....elle prit la clef des champs" !
Pour cette dernière reco, je me suis sur-équipée comme il fallait avec mon camelbak bien utile aussi pour caler mon bras gauche en descente, et mon cardio qui évidement a fonctionné sans problème entre la maison et le départ . Après un petit combat avec la ceinture, il réceptionne enfin de nouveau le signal de mon coeur, ouf je suis soulagée, mon coeur bat encore, si jamais j'avais un doute !!!!!
Bref la montée ce passe bien, je suis rassurée, je ne suis pas la seule à marcher sur les portions très raides de ce parcours. Bien sur y'a des capris de vosgirunners qui montaient sans trop de difficulté ! A la recherche de mon souffle dans les lacets, un gentil biquet me signale que je respire très mal....ahhhh c'est donc cela, mais euhhh oui, mais comment que on fait alors !!!!!! j'en suis consciente depuis un certain temps, mais j'ai demandé une greffe de poumon en or d'un dauphin et on me la refuser contre un prétexte futile de compatibilité homme et animal.
De toute façon, le terrain sera bientôt à mon avantage vue la descente qui s'annonce. C'est fou mais en l'espace de quelques jours, les sentiers se sont vraiment transformés et recouverts d'une bonne couche de feuille qui rend la descente un brin plus technique. Mais c'est tellement magnifique de pouvoir jouer la biquette dans les Singles, et c'est un vrai plaisir de sautiller entre les pierres.
Dans la descente, je perds progressivement mes compagnons de chemins, tout d'abord les vosgirunners qui attendaient deux de leurs brebis égarées puis Alain, victime de maux d'estomac...Mais heureusement il reviendra à mon niveau pour affronter la dernière difficulté de la montée vers le stade.
J'entends déjà au loin le son des sifflets des joueurs de foot, le stade est au bout du chemin, c'est bien moins romantique que le son des cloches des alpages mais on va s'en contenter. Après tout c'est aussi une espèce assez bizarre d'animaux les joueurs de foot. Je n'aurais finalement pas fait mes 2 tours de stade pour clôturer le kmage de ce parcours mais bon cela devrait le faire pour dimanche...Et puis de toute façon comme le dit la comptine de la chèvre, la cousine de la biquette "Il était une chèvre, De fort tempérament. Qui revenait de la montagne...etc, etc, après il lui arrive que des malheurs et finalement "Lorsqu'elle ouvrit la porte ....elle prit la clef des champs" !
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