Pardi en 15ans de vtt, cela ne m'était jamais arrivée. Je ne sais pas d'ailleurs pourquoi j'ai aussi eu cette idée stupide de sortir les gants d'été, ahhh si, pour faire un pied de nez à ce dimanche de vtt tellement froid. On sort du boulot, on est tout frustré de la météo et on se dit, allons soyons fous, on se croit de nouveau au printemps, osons une tenue estivale et même les gants courts pour un petit parcours route, histoire de bien terminer la journée. Mauvaise, très mauvaise idée. Mais quelle bétise de vouloir mettre ses doigts à l'air.... Direction piste cyclable, col du Pfaffenschlick en vue. Résultat des courses, juste un petit détour sur les hauteurs de Mattsthal pour voir si les chèvres étaient déjà dehors mais non. Mais comment les coureurs professionnels peuvent-ils aligner des kms, par exemple sur le tour de France, après une chute ! Ma malheureuse expérience de ce soir me laisse bien songeuse.
Pensée du jour : cela ne sers à rien de vouloir carresser un poteau le long de la piste cyclable, il restera inébranlable !
Tout ca juste pour éviter en plus un groupe. Je me déporte, mais pas assez, et puis, j'ai toujours pensé que ce guidon était trop large, et paf la main. Aie la main, ouie la main droite en plus, à peine arriver sur woerth, adieu le Pfaffenschlick. Mais comme dans tous accident, sur le coup, on essaie juste de ne pas se later davantage, et continue son chemin, puis petite analyse, zut, aie, ouie, 3 doigts qui saignent, mais on se dit bêtement que cela va aller. Et là y'a un truc bizarre qui se passe, en tout cas pour moi, j'ai revue l'intégrale et refait dans ma tête, du dessin animée Il était une fois la vie, quand il parle de la coagulation du sang, et de la formation de la plaie. Evidement chaque petit mouvement devient pénible même la sensation du vent qui vient se poser sur la main, est douloureuse. Je me rassure, pas besoin de trop freîner dans la descente des chèvres, puis retour piste cyclable, ouf les doigts seront au repos et bien caler sur les cornes. Arrivée à la maison, je constate avec effroi qu'ils avaient bien gonflés et que surtout il allait falloir enlever le gant. Quoi que, cela dérangerait qui si je mangeais, dormais avec...Mais il faut être raisonnable et cela aurait été dommage de couper dedans ! Je prie maintenant que dame Arnica fasse son travaille cette nuit car sinon Wasselonne, ce sera chaud, très chaud !
Tout ca juste pour éviter en plus un groupe. Je me déporte, mais pas assez, et puis, j'ai toujours pensé que ce guidon était trop large, et paf la main. Aie la main, ouie la main droite en plus, à peine arriver sur woerth, adieu le Pfaffenschlick. Mais comme dans tous accident, sur le coup, on essaie juste de ne pas se later davantage, et continue son chemin, puis petite analyse, zut, aie, ouie, 3 doigts qui saignent, mais on se dit bêtement que cela va aller. Et là y'a un truc bizarre qui se passe, en tout cas pour moi, j'ai revue l'intégrale et refait dans ma tête, du dessin animée Il était une fois la vie, quand il parle de la coagulation du sang, et de la formation de la plaie. Evidement chaque petit mouvement devient pénible même la sensation du vent qui vient se poser sur la main, est douloureuse. Je me rassure, pas besoin de trop freîner dans la descente des chèvres, puis retour piste cyclable, ouf les doigts seront au repos et bien caler sur les cornes. Arrivée à la maison, je constate avec effroi qu'ils avaient bien gonflés et que surtout il allait falloir enlever le gant. Quoi que, cela dérangerait qui si je mangeais, dormais avec...Mais il faut être raisonnable et cela aurait été dommage de couper dedans ! Je prie maintenant que dame Arnica fasse son travaille cette nuit car sinon Wasselonne, ce sera chaud, très chaud !
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