Avec le VTT tout a commencé

Mon blog, une autre façon d'aborder le sport ! L'endurance...la quête !
Tout a commencé par cela : Et pourquoi le VTT serait un sport masculin ? Pas courir après un chrono, d'une vitesse moyenne mais rester le plus possible sur ma LDY'selle...
(merci les Italiens, ils savent vraiment parler aux femmes ! ). Manger au ravito, boire un coup et tailler un bout de discut , ou si jamais une personne ose, car c'est rare, parler aux vttistes présents qui me dévisagent bien souvent comme une E.T. surtout quand je roule seule. Dire qu'au début, je pensais qu'aux ravitos les gens cherchaient à parler entre eux ! Que les randos étaient un lieu de rencontres de passionnés qui cherchaient à communiquer ! Et je me suis même inscrite dans un club ! Mais non, le vtt est un sport d'hommes, on ne fait pas causette bêtement ! Et on ne parle pas aux inconnus, disaient nos mères. Je confirme... Mais alors où peut-on rencontrer des gens pour parler de cette même passion qui nous anime ?????... pour rouler ensemble et partager ses émotions ? Mais on parle pas aux femmes ! Allez ouste aux fourneaux !

Et c'est comme cela qu'on ouvre ses horizons vers d'autres pratiques : route, course à pied, trail, run&bike, natation, ski.....et petit à petit moi qui était contre les courses on s'y colle et on rencontre des gens avec qui on peut parler !

dimanche 11 avril 2010

11/04/2010 : couicouic, couicouic...

Participants Soultz'riders (MarcS, Fab, Gilou, Philou), yes pour une fois majoritaire !!!!! et 3 petits pois pas vert en civil (Dominique,Philippe,+ sait plus et il était tellement causant.....euhh non pardon, je ne l'ai entendu que parler une fois et il était tout le temps devant ! = Thierry).
Point de ralliement, Liebfrauenthal, enfin c'est ce qui était prévu mais bon avec différents protagonistes qui viennent en vtt directement, le départ était un peu clairsemé. Finalement c'est le local du coin Fab, qu'on a réussi à perdre dès le départ. D'ailleurs, il vallait mieux car sinon mes cuisses auraient pris feu au Soultzerkopf. Arrivée au Pfaffenschlick, j'ai réussi à faire craquer Philou qui s'est mis à bricoler mes plaquettes tellement le bruit l'embêtait ! Mais rien à y faire, elles continueront à grincer lors de toute la sortie. Arrivés de l'autre côté du fossé antichar, Philou jouant à domicile, prie les rennes de la meute. Dans la descente vers le pigeonnier on récupéra enfin Fab et là bizarrement je ne sais pas pourquoi mais la meute mit un sérieux coup de turbo.
Comme quoi le maillot rouge de Fab, des grandes jambes de Philou à l'avant et c'était parti pour les échappées sauvages. Rien à redire, notre Philou sait nous aligner quelques beaux sentiers, où j'ai fini par décroché le groupe faute d'un pilotage aguerrie sur ce type de terrain, où il ne vaut mieux pas se louper dans ses trajectoires. Mais je reste une femme qui s'arrête pour faire pipi et pour manger, malgrès les efforts dissumulés de Philou pour me perdre, rien n'y fait. Tout le monde rentrera à bon port !

Selon la demande de Dominique, petite note historico-culturelle sur l'origine du Liebfrauenberg.

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