Avec le VTT tout a commencé

Mon blog, une autre façon d'aborder le sport ! L'endurance...la quête !
Tout a commencé par cela : Et pourquoi le VTT serait un sport masculin ? Pas courir après un chrono, d'une vitesse moyenne mais rester le plus possible sur ma LDY'selle...
(merci les Italiens, ils savent vraiment parler aux femmes ! ). Manger au ravito, boire un coup et tailler un bout de discut , ou si jamais une personne ose, car c'est rare, parler aux vttistes présents qui me dévisagent bien souvent comme une E.T. surtout quand je roule seule. Dire qu'au début, je pensais qu'aux ravitos les gens cherchaient à parler entre eux ! Que les randos étaient un lieu de rencontres de passionnés qui cherchaient à communiquer ! Et je me suis même inscrite dans un club ! Mais non, le vtt est un sport d'hommes, on ne fait pas causette bêtement ! Et on ne parle pas aux inconnus, disaient nos mères. Je confirme... Mais alors où peut-on rencontrer des gens pour parler de cette même passion qui nous anime ?????... pour rouler ensemble et partager ses émotions ? Mais on parle pas aux femmes ! Allez ouste aux fourneaux !

Et c'est comme cela qu'on ouvre ses horizons vers d'autres pratiques : route, course à pied, trail, run&bike, natation, ski.....et petit à petit moi qui était contre les courses on s'y colle et on rencontre des gens avec qui on peut parler !

samedi 24 octobre 2009

Samedi 24 octobre 09 - j irais voir si le col du Pfaffenschlick est encore là.

Oui ! Aucun cycliste sur le parcours, bonjours vaches, moutons, chevaux et même un écureuil ! Le soleil agite quand même quelques rayon par ici, par là.
Fait pas trop froid, je croise quelques papys en vélo allant aux champs, les premiers routiers, sur la piste cyclable biensûr, sortent vers 15h30, ahhhh la sieste et la digestion est terminée pour eux, moi je boucle mon parcours, fière de ma moyenne et de mon petit plateau auquel j'ai presque pas pensé !


jeudi 22 octobre 2009

Ca y est je suis une vraie luciole en vtt...


Les Lucioles à Woustwiller - Version 2008.
Randonnée de nuit - 30 km - 180 p/mn



Mais quelle bonne idée a encore eu jojo...Nous emmener à woustwiller, où c'est çà..., en lorraine, houlla c'est loin. Mois de novembre, fait nuit et froid. 4 volontaires au départ : JC, Jojo, Francis et moi ! Première épreuve, survivre dans la camionette de JC, fait froid. C'est pour nous habituer à la température extérieure de 0°. On arrive à la bourre, logique les hommes ne partent jamais en avance ! On a du mal à trouver, c'est indiquer nulle part, on se gare enfin, mais il fait encore plus froid dans ce pays. Je manque de me rompre le cou à pied rien qu'en traversant un pont de bois gelé, et bien cela promet pour la suite. Le ciel nous tombe sur la tête, mélange de pluie et de neige. Mais quelle bonne idée cette sortie à woustwiller. Les départs sont groupés, et les premiers qui font le 30 km sont déjà partis. On se retrouve avec une immense bande de marmot, mais qu'est ce qu'ils font là ceux-là, ils devraient être au lit à cette heure ci ! Mais les sauvageons du coin pédallent de nuit et dans la boue. ahhhh la boue, évidemment les mecs mettent le turbo en route pour dépasser tous les gosses et comme c'est pas fléché, pas le choix il faut que je suive ! C'était le début de la fin pour ainsi dire. A ce moment là, la course commencà pour moi. Dépasser tout le monde, bourriner à côté dans les champs pour remonter les jeunes et essayer de rattraper les groupes des 30 bornes.
Mais quelle idée ! Heureusement, on arrive enfin à rattraper un premier groupe à l'arrêt sur panne. Y'a des gens qui sont vraiment trop fort pour crever partout ! Maintenant il s'agit de suivre notre guide Olivier. Super il a remarqué que je n'arrivais pas à suivre le tempo des hommes, en plus de nuit, no comment.



Je note en lorraine, ils sont fous, d'abord c'est super boueux, et ils nous font des singles, et des sentier moto cross ! Mais qu'est ce que je fous là. En plus, pas de bol, il faut suivre, j'peux même pas m'échapper, si j'aurais du me précipiter sur l'autoroute et faire du stop ! Petit pause rapide, notre guide se barre déjà, les pertes humaines on s'en fout en lorraine. Le retour, total black out ! On réussit à perdre notre guide, un autre gars décide de nous faire changer de parcours et on file direct en forêt, sentier en dèvers, des racines partout et là , évidement je craque un peu moralement, le guide continue à son hallure, je me retrouve toute seule en tête avec des gens qui réclame derrière moi ! Mais pourquoi, personne se dévoue pour ouvrir la voie ! Non ils préfèrent se foutrent de ma gueule et rester sur mes traces, alors déjà de jour, je suis tout le temps à la recherche des trajectoires, mais de nuit, en forêt lorraine....Le cauchemar, on arrivera jamais ! Une lumière au loin, des voix, de la vie, de la boue, on arrive sur le chemin du départ ! A l'arrivée, attente bien trop longue pour le jet d'o, je me précipite sur la soupe maison légumes-saucisses, enfin un peu de réconfort dans ce monde de brutes ! Non les lucioles c'est un truc de fou ! Tiens le chauffage marche sur le chemin du retour, et il était à fond !


Je remercie le local du coin, qui a remarqué que j'ai réussi à faire tout le parcours avec des pythons ! Bon évidemment je ne savais pas pourquoi il me disait cela ! Puis j'ai eu droit au cour technique sur les pneus... quoi y'a différents types de pneux en VTT ! Ah bonnnnn !






22 novembre 2009  - Luciolles version 2009
La déception ! 40 p/mm de moyenne !


H moins 4 heures, JE NE VEUX PAS Y ALLER, et pourtant je ne comprends pas pourquoi mon vtt est déjà prêt ! Je sens qu'on va me mettre telle une boite, dans une voiture ce soir.

H moins 1H, bon je me suis fait une raison, il va bien falloir que j'y aille. Bon regardons le bon côté des choses, y'a pas de neige au programme ni de pluie. 15° il fait presque bon !



Le circuit qu’on ne refera plus !
Comment dire, pour rester positive, c’était la découverte des ZI de la région, entrecoupés de quelques chemins bien boueux, et quelques rares passages en forêt sur des sentiers. Cette année, il fallait beaucoup de techniques pour passer toutes les barrières qui se trouvaient sur notre circuit. Je ne pense pas que de l’année je n’ai franchi autant de barrières. Dans cet exercice certains excellent pendant que d’autre, enfin moi quoi, se rétame en beauté, en créant un superbe bouchon. Pour ma défense, je dirais quand même qu’il y avait une racine ! JE DETESTE LES RACINES ! D’ailleurs, ce matin je pense avoir une cuisse plus grosse que Carl Lewis quand il a battu son record du monde sur 100m.
 
Le groupe : le mauvais choix , celui qu’il fallait éviter !

Vu l’épreuve de vitesse subit l’année d’avant, à la conception des équipes. On resta très perplexe à l’annonce du groupe des « rapides » ; à part notre torero et Jok qui étaient déjà dans les startings blocks. Afin de rester groupé, pour une fois, et que tout le monde puisse bénéficier de mes chants nocturnes, on décida de prendre le second départ.
Mauvaise idée. Le groupe était déjà beaucoup trop nombreux donc beaucoup trop inégal. De ma vie de pratiquante de rando, je ne me suis jamais autant arrêtée. Heureusement qu’il ne faisait pas froid. D’ailleurs à la fin, cela devenait vraiment très risible surtout après le vin chaud, ahhh non, c’est du jus de pomme chaud (tiens cela fait déjà un peu cidre fermenté) que j’ai recraché sur Benes, morte de rire car Gillou venait de découvrir qu’il pouvait aussi faire du vtt à Mothern et que la descente de son garage serait une excellente descente ! Faute de réelle épreuve sportive, on a pu déconner et je crois n’avoir jamais autant parlé. La déception de Jok et notre Torero était visible sur leurs visages, on leur a bien proposé de les handicaper en prenant sur leurs vélos les boulets qu’ils fallaient attendre, mais non !


Donc, les Lucioles 2009, mauvais point, on s’est ennuyait sur le circuit, en plus y’avait pas assez de pain, j’ai pas pu manger mon fromage, et en plus un chevelu a essayé de me piquer mon couteau, j’ai pas pu saucer ma soupe, pas de gato avec le café, ni de savon dans les toilettes, on nous a gentiment mis à la porte mais heureusement la soupe était toujours aussi bonne !

Voir photos sur forum SOULTZ rubrique album, choisir Gilles






dimanche 18 octobre 2009

Sortie club le 18 oct à Zinswiller : le brame des cerfs

Avant même le jour J, certains sont déjà chauds pour y aller en VTT...Pourquoi faire simple ! Evidement cela stress déjà d'autres qui ont peur de venir, oui messieurs, vous faites peur je suis sure ...Cool c'est pas une compét les gars ! la preuve je suis là

Moi j'opte pour la formule, aller en voiture avec le chauffage et la radio bien à fond !
Jour J
Au départ : Yvan, notre guide du jour, lourde responsabilité car subie les fougues de ces coéquipiers, march, fab, et moi, et moi et pas 300 millions de chinois, et les tarés venus en vtt directement : bigfil, JC, Jok.
Départ sur les chapos de roues, non pardon pour ces "cerfs" c'est normal et encore ils ralentissent pour m'attendre.
Bref, à fond dès le départ, et comme on commence par monter, cela chauffe rapidement, donc une première sous couche vole déjà au fond du sac. Le stress du départ, la pression des cerfs qui attendent, première embrassade avec le sol, oh tiens du sable, et il n'est pas froid. Pas perte de temps, le resto est réservé pour 12h30. J'ote encore une couche de vêtement. Je ravale ma salide tant bien que mal, évidement j'ai pas le temps de regarder le paysage, car il y en avait, entre chatos, vallées et petits villages où des gens arrivent à vivre loin de la civilisation. On arrive sur les singles tant attendus par les cerfs qui se mettent en rute...wouahhh ma tension monte, je maitrise plus ou moins, moins ou plus, mais lors d'une vilaine descente, oui vilaine, sur un virage à 90, avec grosse pierre, cette fois, le goût du sable me semblait un peu plus amère. Et là, je vis un de ces moments magiques, furtif et rapide, où ne sait plus bien ce qui se passe, on se dit juste c'est bizarre (comme sur la planête de patati et patata, ohhhh c'est pas grave certains parents comprendront mon allusion, et non je ne débloque pas encore du choc...), mon vtt passe au dessus de moi. Mais c'est tellement rapide, qu'on a même pas le temps d'avoir peur. Je me souviens encore de ma peur lors d'une chute due aux pédalles, où là le cerveau comprend encore ce qui se passe et surtout voit ce qui va arriver, et le résulat doit encore être visible sur le goudron, car évidement avec la chance que j'ai toujours, l'action c'est produite sur le bitume.
Bref méchante chute, cela m'aura calmée pour toutes les autres descentes.
Grâce à une intervention divine, Yvan crève, merci mon Dieu, j'osais pas demander quand on prenait le goûter de 10H. Montée sur le Arnsbourg, pause pipi, et là bizarement j'ai jamais vu autant de vtt passer. Après 10 bonnes minutes, c'est reparti pour une chevauché sauvage pour rattraper le groupe qui m'attendait en haut. J'arrive quand même à gratter 2 vttistes au passage, ouhhhhhh cela fait du bien au morale. Quoi les cerfs en rute, vous avez pas l'habitude de rouler avec une gazelle je sais, non seulement elle ralentie le groupe, se change et fait pipi ! Que du bonheur nature quoi ! Mais on a pas le temps de plaisanter, on est déjà en retard, à qui la faute, hiiiiii. On décide de couper une dernière montée, pour ne pas retarder mes cerfs dans leur lancé, mon homme me donne en becquettée le grany qui servira à me caler jusqu'au resto. On joue même à Kolanta, dommage Olivier que tu ne sois pas venu, les cerfs balancent mon vtt entre les coupes des arbres, je cours à pieds à côté, pour essayer de suivre...Dernière montée, dernière descente, ça y est c'est terminé, je vais pouvoir parler maintenant !

SUPER PARCOURS YVAN, et pas dégouttée du tout, faut juste que j'arrive à me caler un peu plus sur votre rythme... et si on essaie pas...merci aux cerfs de leur patience car il faisait quand même frisquet!


jeudi 15 octobre 2009

WE 15 oct – Choucroute et prout alors !


Samedi pluie, zut j’avais prévue d’aérer mon canon ! Dimanche matin, bordel de bordel, y’a du soleil et il faut que je prépare une choucroute. Le soleil me nargue à la cuisine, je rajoute une bonne couche de choucroute entre le lard et le kaasler, et il fait même bon dehors ! Choucroute prout, je rajoute la saucisse en pensant que c’est dommage de ne pas pouvoir digérer tout cela sur le vélo. C’est bientôt l’heure de l’apéro, y’a même un souffle d’air chaud qui balaye mon visage, Choucroute prout ! Bon si je commençais à vider une bière, non cela me rendra malade, les bulles de limonades noieront mon chagrin ! Il ne me reste plus qu’à m’équiper de ma frontale ce soir et courir pour digérer cette satanée chroucroute, proute alors ! S’il pleut pas d’ici là…



dimanche 11 octobre 2009

11/10 Sortie route la journée de la femme

Ce matin, les jambes me démangent par un samedi passé sous la pluie. 8h30, le ciel est gris, mais le besoin de pédaller est bien là. Afin d'être de retour à 11h, un petit tour en route s'impose. Je m'élance sur la piste cyclable direction le Gimbelhof où je peux espèrer croiser en vtt JC et Fab avec un peu de chance. Je me retourne à plusieurs reprises, afin de voir s'il n'y a pas un petit canari fluo qui me suit, mais pas de Guitouné à l'horizon.

Tiens tout les hommes ont décidé de faire la grasse mat ce matin. Est ce qu'ils se sont tous refugiés sous la couette se laissant prendre au jeux de leur fille chérie qui s'étonne de voir leur père au lit et qui s'amuse à jouer à la maman. Cette impression ne fait que continuer au fil des kms. Aucune hormone masculine sur la route. Pourtant il fait pas aussi froid que cela, il ne pleut pas. Je constate avec surprise, que les premières personnes que je croise sont des femmes, puis une autre, puis encore une autre, bon ce ne sont pas des férues comme moi, à les voir sur leurs vélos, mais l'esprit est là. Les rouleuses du dimanches sont là, puis je croises les joggeuses, toujours pas un seul homme à l'horizon. Donc cela me fait dire, que nous les femmes, on est bien plus résistantes, plus courageuses que nombre de gros mollets que je croise. C'est vrai le sol commence à être glissant, les feuilles qui trainent, les marrons etc...et puis y'a téléfoot et turbo le dimanche matin !
Arrivée au col du Litschoff, pas de sangliers en vue, je veux dire de JC ou Fab, mais bon cela auraît été un sacré coup de bol ! Je me rhabille pour la descente, et je croise à nouveau une courageuse à vélo. De retour sur lembach, je croise enfin les premiers mollets vellus de routiers. Tiens, il est presque 11h, ils ont enfin eu le courage de sortir.

Pire je me dis que toutes les femmes que j'ai croisée ce matin étaient matinales car elles doivent être rentrée pour préparer le repas dominicale. Oui cela doit être cela, car ce n'est pas la journée de la femme à ce que je sache ! Arrivée à Woerth, petite pause à la boulangerie pour chercher des baguettes fraiches, miam, miam et surprise je croise Fab qui venait de se lever ! Petit brin de causette, 11h passée je suis en retard, je file avec mes 2 baguettes, le soleil est sortie, on me klaxonne au passage, Quoi vous n'avez jamais vu une mère de famille déguisée en cycliste rammener le pain à sa famille ! C'est dimanche, faut bien aussi se nourrir.



jeudi 1 octobre 2009

Fin des randos organisées

Fin des randos organisées, bonjour la solitude des parcours automnales et hivernaux, dans mes petites vosges du nord...
Si jamais vous croisez un lapierre rouge ou un synapse noir, arrêtez vous 2 secondes, relax prenez le temps de parler, je ne vous mordrez pas !


dimanche 27 septembre 2009

27/09 / Rando Pigieonnier Wissembourg - 57km

Bilan de la rando de wissembourg ou comment jouer au jeux des 7 erreurs par rapport aux éditions 2008, 2007, 2006.



Ou alors, on m'avait pas dit que c'était une rando permanente !
  • 1. On avait pas le droit de stationner sur le côté de la route
  • 2. On avait le droit de partir avant 8h
  • 3. Il faisait plus froids les fois d'avant..tiens
  • 4. Arrivée au premier contrôle, il n'y avait pas de blessé cette année
  • 5. Les astanas ne m'ont rattrapée qu'au second contrôle
  • 6. ahhhhh si nouveauté en repartant vers le pfaffenschlick, petit changement au niveau de la route, tiens mais c'est du sentier en plus qu'on avait pas, bon, il allait pas le loupé celui-ci...
  • 7. ohhh purée, j'y suis arrivée jusqu'à 7, ils ont déplacé le 3ème ravito au soultzerkopf.


Bref, à part une nouveauté, wissembourg ne nous étonne guère, il faudrait vraiment innover l'année prochaine braves gens du clubs !
Par contre, autre mauvaise note pour le parcours de 19km, qui était commun à notre grand parcours, cherché l'erreur, je ne sais pas à qui le club destine ce parcours, mais en tout cas, je n'emmerais jamais mes enfants dessus, ou alors pas avant 11 ans !


dimanche 16 août 2009

16/08 - Balcons du dabo 70 km

Cette première à dabo, m'a fait très peur, et finalement que de bonnes surprises. Biensûr, il y a avait des passages techniques, des montées impossibles avec escalier, mais le nombre allucinant de singles "propres" sans aucune grosse difficultée a balayé tout le reste. Les contrôles pas terribles, mauvais point quand on connait le prix de l'inscription ! Un très grand merci à Spé, qui a veillé sur moi sur tout le parcours...


Par contre je trouve honteux pour un club de faire payer plus cher les bo paysages naturels- et oui braves gens de lorraine la nature c'est gratuit normalement - et les singles qu'ils empruntent ! Quelle mentalitée !
http://picasaweb.google.com/PHILSTORY67/LesBalconsDeDabo16Aout2009



dimanche 26 juillet 2009

26/07- Myrtilles Ottrott-60 km


Bonne surprise cette année, ils ont changé le parcours et respecté le kmage. Du coup faire 60 km au lieu des 76km de l année précédente fut vraiment plaisant ! Parcours donc beaucoup moins dur cette année, pas cette satanée montée qui se termine dans les cailloux , exit aussi la traversée dans les racines à côté de la rivière. Montées sympas, pas techniques (sauf quelques unes....), nouveau sentier en fin de parcours qui doit être bien désagréable par temps de pluie...

Mauvais point au retour, presque rien à manger, mais le challenge de nouveau gagner par le club !




dimanche 19 juillet 2009

19/07 Petite Suisse Wasselone - 50 km


La première session du mois d'avril était déjà très technique, et les organisateurs m'avaient confiés que celle-ci serait encore plus chaude...mais non ! Toute une prépartion mentale pour rien. D'ailleurs je trouvais cela bizarre du club, ce choix "stratégique" de parcours. Nouveau point de ravito à Engenthal qui nous a pas porté chance, j'avais hésité à faire le 60km, mais la pluie, encore, a décidé pour moi. Pendant que les copains du club se sont tous tirés la bourre (au point de ne pas faire causette avec ma petite personne), je termine seule le parcours mais sous le soleil finalement...






dimanche 12 juillet 2009

12/07 Saverne 45 au lieu des 60 km


je me faisais vraiment un réel plaisir de cette rando, tellement j''avais appréciée la version 2008. La météo annoncait des nuages pour le matin et de la pluie pour l'après midi. Donc il fallait absolument partir à l'aube pour être de retour avant le déluge. Mais la météo s'était trompée. Et dire que je ne voyais même pas le mal venir, en emmenant 3 couches de plus au cas où ! Grave erreur ! A peine garée, quelques petites goutes, puis dans la descente, la pluie de chez pluie, trempée en moins de deux, j'ai froid, je mets mon kway sur mon pt coupe vent trempé (oui j'ai envie de l'appeler comme cela c'est mon site crotte), je mange biensûr pour prendre des forces, mais le mal est fait, j'ai les pieds trempés. Les astanas m'ont laché evidement dans les premières montées. J'arrive péniblement au premier ravito, et là j'apprends qu'on m'autorise à faire un petit parcours. Merci mon homme est trop bon avec moi. Je repars sous la pluie, on me regarde davantages encore comme une ET, j'arrive au second ravito sans pluie. Je croise un collègue de boulot qui fait du vtt, tiens c'est bizarre je ne savais même pas, mais c'est vrai que certains collègues au BE ne sont pas habilités à parler ! On repard ensemble avec un normand, c'est sympa un peu de réconfort humain avec ces conditions climatiques. Je regarde avec tristesse la séparation du 60 km, mais je suis trempée, c'est plus sage de couper. Passage à côté du Haut Barr, sympa, dernières descentes, mon portable sonne, les astanas sont arrivés avant moi. Je les déteste !


Pas de commentaire sur le parcours, faussée par la pluie qui rend à mon goût les sentiers avec racines bcp trop dangereux !


dimanche 5 juillet 2009

5/07 Bitche 30 km si , si c'est possible !

Pendant que les petits s'élancaient avec bcp de plaisir sur le 15km, je filais droit sur le 30km, afin de terminer en même temps qu'eux. Pari gagné, (malgrè les doutes de certains), vitesse moyenne explosée 15km/h grâce à mon poisson pilote du jour (ehh oui je me sociabilise avec les inconnus, on plutôt quelqu'un a eu le courage de rouler avec moi ), merci Guidot (mais oui c'est un prénom je vous assure, moi aussi cela m'a fait rire), qui ma bien "tirer" J' ENTENDS BIEN AU SENS VELO, dans les montées... petit parcours mais que du pur plaisir de rouler à vitesse soutenue sur des petits sentiers très sympas, sans être trop technique, mon truc quoi ! Rouler serainement sans avoir à se poser la question où la roue va atterir. En plus le sable humide c'est moins périlleux ! Cela fait vraiment, vraiment très bizarre de terminer à 10h30, moi qui fait plustôt les fermetures. Surprises à l'arrivée, on a pas l'habitude de croiser les tandemistes qui étaient venus de soultz, et eux aussi c'est une première ont signé pour embrayer sur le petit parcours route (dont je ne dirais pas la distance...) et Monsieur March en vélo route ! tiens il nous cache pas une femme lui...

jeudi 4 juin 2009

14/06 Les Mollets Verts 47 km

6h58 et déjà remplie d'humour, je met la crème solaire, une première cette année, et c'est partie pour les mollets verts. Dommage les bouchons au départ, comme d'hab, il faut faire le parcours du combattant pour s'inscrire. Les altigraphes me laissent songeuses (d'ailleurs on ne comprend rien à leur carte) et je reste perplexe face au 63 km. Les premiers km, auront raison de moi, enfin surtout mon dérailleur, qui a décidé de m'embêter aujourd'hui. N'ayant pas mon staff technique à proximité, je laisse définitivement de côté le 63 km. Et quelle bonne intuition ! Mais par contre ce qui est bien sur un petit parcours c'est que je peux me faire plaisir à dépasser des vttistes..., ce qui m'arrive jamais sur les grands parcours ! Yes ! Que dire du parcours, trop dur jusqu'au premier ravito. Les passages dans les tunnels ne sont pas à mon goût, je ne parle même pas de certaines montées, où je tiens même à pied difficilement debout. Mais bon avec un dérailleur qui saute c'est délicat d'être clairvoyant et c'est pour cela que mon jugement est altérée...



lundi 1 juin 2009

Schnakers Tour

Ca y est je suis une vraie SCHNACKE à VTT !

Les schnackers Tour c'est quoi ?

Parcours de nuit (30) et parcours de jour de 50km sur 2 jours. Plein, Plein de monde, et je suis étonnée, des jeunes, des vieux, des vtts, des tt suspendus, casqués, masqués une file bien trop longue pour s'inscrire, de la musique, et des ravitos qui mérient le prix d'inscription, (contrairement à certaines rando comme le dabo qui font payer le paysage et le nombre de Singles empruntés, shame on you !) Oais quelle organisation chapo bas et haut d'ailleurs!
NB / avec un parcours vtt pour enfants top , fait en 2008 en famille !


Donc leçon one, une vraie schnacke roule la nuit, même perdue seule dans la forêt lachement abondonnée par 2 autres vttistes perdus ! et évidement avec un portable qui ne passe pas. Parcours assez costaud quand même pour une virée nocturne ! Des montées qu'on a l'impression qu'elles ne montent pas, des descentes bien trop rapides, des loupiottes impossible à voir à moins d'avoir une expérience de chauve souris !
Heureusement tout le monde est sain et sauf à l'arrivée avec comme force en présence : fred, JCH, gilles, jok et moi ! Petite tarte flambée, jus de pomme bio, WC Bio à ne plus refaire car cela fait mal au fesses ! douche, petit dodo, et nous revoilà reparti pour la version jour, force en présence : Yvan, puis plustard Markès et Forrest Gump (tiens sur un vtt).

Le lendemain



Ahhh on jouais les fiers ce matin avec joel avec nos belles plaques gagnées avec nos efforts nocturnes ! et il avait peu de monde qui en avaient !
Donc leçon 2, une vrai schnacke roule aussi de jour, même quand il pleut à 8h30, même dans la forêt sauvage, où il n'y a pas de sentier, même dans les montées où il faut faire du portage, et oui comme la schnacke, la vttiste doit passer partout, même sur les tous, tous petits singles avec le ravin à côté.

ça y est je suis une vraie schnacke !





LES CRAPAUX 30 et 31/05/09

La découverte des crapos.
LES CRAPOS CE QUE C’ETAIT POUR NOUS…enfin moi






Une idée précise en tête de jok en 2009 nous inscrire au crapos. Mais avec qui ? L’équipe finale sera désormais constituée de : Jok, Marc, Phil; JM, JC, et de moi-même avec mes conditions : Je ne roule pas la nuit, et de jour avec les horaires qui m’arrangent, la vraie chieuse de service quoi. Mais à y regarder de plus près c’est avec une grande lucidité que j’ai procédée ainsi car après tout les crapos c’est aussi une compétition. Donc ce qui peut paraître êtes des contraintes ne sont que des handicapes auxquels il faut faire fasse pour faire gagner son équipe de quelques places au classement final, ce qui est le but de tout compétition.
Fait de départ : Marc est le seul a avoir déjà participé à cette rencontre, mais avec de très mauvais souvenirs (pluie, boue et une équipe de joyeux certes mais amateurs ), une expérience très négative et un point de vue très sceptique de la chose qui firent que éveiller méfiance et doutes fasse à cette rencontre.
Une première organisation de groupe.
Nous étions des copains de club roulant ensemble en vtt mais jamais partis ensemble. Donc réussir à partir scinder dans le groupe et revenir dans le même état d’esprit c’était pas gagné, une même passion pour le vtt, et je dirais même d’une façon générale pour le vélo, mais tous différents à la base. ; et le bilan : on est revenu pareil !
Mais cela grâce aussi au beau temps qu’il a fait ! Avec de la pluie, cela aurait été différent.
Une grande première donc avec je dirais d’un point de vue logistique, une assez bonne réussite. JC voulaient absolument tous nous faire dormir dans sa camioniette que j’appellerais ainsi et non caravelle pour une raison que j’expliquerais plus tard. Mais mon esprit pratique a repris le dessus, et nous sommes partis pour une version intégrale d’un véritable camping organisé avec tente, matelas, gazinière etc.…

Pourquoi on a faillit repartir…
Arrivé sur le site des crapos, premières surprises, nous voilà perdu dans le campement.
Car toute personne qui n’a jamais fait, les crapos, ne peut s’imager ce que c’est visuellement.
Un terrain immense, avec des centaines et des centaines de gens, mais pas le camping de Pavallos les flots avec de belles allées et un certain nombre de m2 par personnes, non c’est un emplacement accolé l’un à l’autre et cela sur des kms et des kms, et non pas avec des petites tentes personnelles comme c’étaient le cas pour nous, mais avec des gigas mégas tente de militaires, ou les trucs de réceptions, de mariages, si ce n’est pas carrément le semi remorques ou les cabines de chantier avec bien évidement des tonnelles proportionnelles au nbre de personnes, des drapeaux accrochés à 6m du sol, les homes traîneurs, les barrières de chantier pour garer les vtts…bref de très gros moyens techniques quoi !
Incroyable à mes yeux de voir comment les autres sont organisés pour ce WE, et ce n’est pas des amateurs…
Incroyable à mes yeux de voir tellement et tellement de gens au m2, car c’est pas seulement 500 équipes soit 2000 personnes qui campent mais 5000 personnes car les autres eux viennent en famille : du bébé d’une semaine à peine, au papi de 90ans, toutes les générations sont présentes, oui les crapos c’est aussi cela, c’est d’abord un WE en famille, ou entre copains, avant d’être une compét de vtt.
Et donc dans tout ce fourbi, il a fallu trouver notre petit emplacement qui nous a été préparé gentiment (ce qui veut dire passé à la tondeuse et oui sinon c’est dans de l’herbe haute de 50 cm qu’on aurait du camper) par des collègues de boulot de JC et on a eu du mal…
Donc, s’il y a une chose à faire, messieurs les organisateurs c’est de faire un plan avec les emplacements !
Installation faite, on fait vraiment amateurs à côté de nos voisins mais bon l’esprit est là…
Premier point négatif j’avais oublié les gobelets mais heureusement l’organisation nous en a donné quelques uns. Ouf on a pu boire car avec le vent sec qu’il y avait on est tous rentrés avec des lèvres bien sèches.
La première épreuve était la survie du feu, chose essentielle dans la vie d’un camping ! Premier repas, première galère, il y avait tellement de vent, que cela n’arrêtait pas d’éteindre la gazinière, après avoir presque passé le paquet d’allumettes, mis autour tous les cartons qu’on trouvait, le pare soleil tenu par JM, une chaise avec marc assis dessus. Rien à faire au bout d’une demi-heure l’eau n’avait toujours pas bouillie. Et l’esprit de groupe, merci… faire chauffer dans la camionnette ! Mais oui, bien à l’abri, mais pourquoi y avais je pas pensé avant, mais parce que c’est super dangereux de faire du gaz dans une camionnette, mais en temps de guerre de feu et du vent, que n’est ni.


Premières émotions…
Le départ semble bien long, présentation de l’épreuve par les organisateurs, trop long à mon goût, puis mise en place du départ type 24H du Mans, à l’autre bout du terrain. JOK est aux anges dans son déguisement de cigognes. Et oui les crapos c’est aussi cela, un départ déguisé pour tous , et il y en a pour tous les goûts, mais en tout cas, moi j’ai jamais vu autant de fesses car beaucoup de gars se sont déguisés en filles avec jupettes et string. Ouiiiii chaud devant. Le départ est lancé, JOK est à fond bien sûr, et c’est parti pour 24H de relais en VTT.
Mon tour arrive, je me lance sur le circuit, le départ me paraît même plaisant, mais bien vite des parties techniques bien en dévers, avec des descentes super raides où il faut savoir piloter sans bloquer la roue arrière comme moi, m’ont fait déchantées…je le dis et le redis, je suis nulle en technique !
Si jamais j’avais encore un doute pour la nuit, il s’est bien vite dissipé, non je refuse de faire cela de nuit ! Parcours très sympa malgré tout : passage dans les champs, la forêt, dans le campement à plusieurs endroits différents, la tente principale, surplombant la ville, circuit très physique car tout se joue dans les relances, et alors quand on est déguisé en Blanche Neige c’est encore plus drôle ! Et c’est fou le nombre de gens qui confonde blanche neige avec cendrillon !

La fête avant tout
La nuit tombe, les relais continuent sans problèmes majeurs sauf pour Phil sur qui un gars est tombé dessus. Mais rien de grave heureusement ! Chacun est rentré entier et c’est aussi essentiel pour nous. Malheureusement Marc n’a pas réussi à cassé son BH, ou alors se le faire voler, dommage cela aurait simplifier son problème de changement de bike, mais sache qu’on reste super ouvert s’il faut le kidnapper mais on ne te demandera pas de rançon !
La nuit il est impossible pour moi de dormir, les jeunes et moins jeunes sont là pour faire la fête avant tout, nos voisins avec leur bike parc garaient à côté de nos tentes commentent leurs prestations sportives lors de chaque relais, la musique tourne à fond une bonne partie de la nuit, les hauts parleurs font défiler les numéros des concurrents, les gens boivent et rigolent… Les capos c’est aussi cela, faire la teuf 24h entre copains, et cela je l’avoue, on ne l’a pas fait…on était partis pour pédaler, et on a pédaler, enfin surtout les mecs, mais on a oublié de faire la fête, et c’est vraiment dommage, mais pour cela on aurait dû être davantage entourés de fêtard, et d’amis…C’est bien beau de pédaler mais il y a aussi le reste, et pourquoi personne n’a osé venir avec nous ???? Ahh oui c’est vrai quand tu regardes la taille moyenne de notre équipe cela fait peur, j’ai l’ère d’une naine de jardin à côté de Phil, et puis personnes n’a bu….ahh si j’ai vu quelques cannettes chez JCH je crois…

Pourquoi je n’irais plus au crapos (les douches sont froides !)
Le dimanche matin, petit déjeuner où on m’a regardé bête car je prenais 3 sucres dans mon café au lait, oui madame je besoin de 3 sucres quand je pédalent mais en fait vous vous savez faire du vtt au moins ??? Et oui messieurs j’ai besoin de 2 portions de confitures de fraise pour mes tartines, je fais du vtt, merrrrdeeee, je ne fais pas du régime moi ! Pourquoi on m’embête avec des détails comme cela, je ne prends pas de corn flakes, ni de fruit, ni de jus d’orange le matin, j’ai donc le droit de surcharger en sucre mon pain et mon lait, bordel !
Je reprends le relais après Phil, donc c’est la seule personne que j’excuse vraiment pour la suite des événements, puis JM qui a essayé de signaler ma situation future mais aucun autre.
J’arrive de mon tour, super contente de moi, car j’avais gratter plein de monde, bien pris mes trajectoires, faits des montées tremplins que j’avais loupé avant, donc j’arrive pour mon relais et là bizarrement, je ne vois personne, on rappelle mon numéro au micro, je regarde et regarde encore une fois, je pense à ce moment là que c’est une blague, je crie mon numéro, je sonne avec ma superbe sonnette, je saute, je fais la pintade dans toute sa splendeur mais personne ! Plus d’équipe, rien, le vide, seule, abandonnée des siens, 100 yeux qui me fixent…que me reste-t-il, mais à hurler dans mon téléphone ! Chose faite, je repars que le parcours, pour ressortir illégalement plus tard afin de rejoindre le campement pour retrouver mes faux frères…trahie, meurtrie, anéantie, bon j’arrêtes car après c’est plus crédible.
Donc les crapos c’est aussi cela, un staff technique qui vous entourent et qu’on n’avait pas. Un gars qui surveille bien que les relais se fassent bien, qui te passe la pompe la nuit quand tu la cherche, qui te dit que le dernier est bien rentrée et que toi tu ne restes pas là à attendre la voiture ballet pour constater que c’est pas un gars de ton équipe.
Mais non, nous on y est allée en amateurs, on a découvert ce gigantesque rassemblement de vttistes et on a fait ce que l’on a pu…


La compétition qu’on a oubliée
Les crapos reste avant tout une compétition, et c’est aussi cela qu’on a pas su gérer, peut-être que si on avait su plutôt qu’on pouvait avoir les résultats informatiquement, on aurait su contre qui on se battaient au classement, on aurait peut-être cherché à se rapprocher des gens avec qui on a joué une place au classement, on aurait eu un objectif lors de nos relais, je ne parle pas évidement de jok et jc qui se tiraient la bourre au chrono pour savoir en quel temps minimum ils pouvaient faire un tour…en tout cas, on aurait essayé une approche de concurrents, et on aurait moins été noyé dans la masse.
Les crapos c’est aussi cela, rouler entre copains, et venir à plusieurs équipes…

Un superbe beau WE
En conclusion, les mecs sont quand même de super bons rouleurs, au classement scratch 107 sur 507, et 13 sur 64 dans notre catégorie et pour une première c’est pas mal, une expérience à faire dans une vie de sportifs….en avant les soultz ‘riders !

Ce qui manque au crapos
Vue le nombre de personnes qu’il y a, je trouve ce qui manquent au crapos, c’est un truc pour rapprocher un peu les gens, du genre obliger de se mélanger avec les autres par des épreuves sportives, un côté conviviale que je n’ai pas trouvé,
ou ne serait que de présenter les équipes sur des panneaux…

Le souvenir qui fait rire
Curieusement, le souvenir le plus drôle, ce sera nos voisins d'en face qui ont essayé à 6 personnes différentes, de fermer une tente queschua 2 secondes. 2 secondes pour l'installer et 45 minutes pour la remballer !