moi aujourd'hui...
Ce matin je voulais changer d'air et voir des paysages nouveaux, et bien je fus servie !
Départ Rothbach vers le chateau du Lichtenberg, grosso modo et retour sous la houlette des petits pois. Des sonorités de lieux étranges : Seelberg - la mer où çà j'ai pas vu ??? kuehberg, aujourd'hui j'en aura qu'une, et j'ai pas besoin de faire un dessin pour la désigner, Champagne, Picardie, ooohh purée on vient de repasser la frontière, et j'ai rien remarqué, mais bon pas pour longtemps, nous voilà dans le Schweinstich, en passant par la Melch, mais tiens donc c'est comme cela que les anciens nomme le nom de mon lieu de travail, j'ai pas remarqué non plus être passée par mon bureau !!!!, puis on rebascule en France par la Redoute, tiens faut que je commande une nelle veste, pour passer le col de Steige, voilà les vosges, pour rebasculer en allemagne du côté de L'Eselberg...
bref tous les animaux de la campagne y sont passés, j'aurais eu l'impression de traverser 3 régions au moins et au final qu'est ce que j'ai vu du paysage ?
Rien à part des racines bien trop humides à mon goût, de la caillasse à gauche avec le ravin à droite, une version arbre et ravin à gauche, des pièges, des feuilles malicieuses qui cachent toujours et encore des racines et, et, et du brouillard en veux tu en voilà.
Le château, on ne devine même pas sa présence, le paisible village fait office de ville morte avec ce temps de chien. Ahhh si le chien, lui je l'ai vu, même faillit le prendre dans ma roue avant, ok y'avais priorité à droite, mais quand même ! J'ai qu'un coeur et faudrait que je le ramène en entier. Déjà que je le maltraite en essayant de suivre, de loin, et de bien loin d'ailleurs les gars d'ina aussi alèses sur ce parcours (bien trop technique pour moi en ce moment) que des chats sur leurs gouttières. Çà glisse aussi pour eux, mais c'est rigolo tout plein !!!.
La seule curiosité que j'aurais l'occasion de découvrir est la "Affenstuble" le long du Affenfels, et encore 2 secondes pour l'admirer car mes "singes" à moi sont déjà tout en bas du sentier. J'ai bien compris que l'on se trouve sur leur territoire de jeux préféré, et qu'ils prennent leurs pieds alors que moi j'essaie de les laisser caler, en vain, dans les pédales.
A refaire par temps sec et avec quelques bornes de plus de technique dans les guiboles...
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