Avec le VTT tout a commencé

Mon blog, une autre façon d'aborder le sport ! L'endurance...la quête !
Tout a commencé par cela : Et pourquoi le VTT serait un sport masculin ? Pas courir après un chrono, d'une vitesse moyenne mais rester le plus possible sur ma LDY'selle...
(merci les Italiens, ils savent vraiment parler aux femmes ! ). Manger au ravito, boire un coup et tailler un bout de discut , ou si jamais une personne ose, car c'est rare, parler aux vttistes présents qui me dévisagent bien souvent comme une E.T. surtout quand je roule seule. Dire qu'au début, je pensais qu'aux ravitos les gens cherchaient à parler entre eux ! Que les randos étaient un lieu de rencontres de passionnés qui cherchaient à communiquer ! Et je me suis même inscrite dans un club ! Mais non, le vtt est un sport d'hommes, on ne fait pas causette bêtement ! Et on ne parle pas aux inconnus, disaient nos mères. Je confirme... Mais alors où peut-on rencontrer des gens pour parler de cette même passion qui nous anime ?????... pour rouler ensemble et partager ses émotions ? Mais on parle pas aux femmes ! Allez ouste aux fourneaux !

Et c'est comme cela qu'on ouvre ses horizons vers d'autres pratiques : route, course à pied, trail, run&bike, natation, ski.....et petit à petit moi qui était contre les courses on s'y colle et on rencontre des gens avec qui on peut parler !

lundi 4 janvier 2016

L'info


Chez les Druides, le gui était considéré comme une plante sacrée. Selon eux, cette plante avait des propriétés miraculeuses, dont celles de guérir certaines maladies, d'immuniser les humains contre les poisons, de leur assurer la fertilité et de les protéger des méfaits de la sorcellerie. De plus, lorsque des ennemis se rencontraient sous le gui dans la forêt, ils devaient déposer leurs armes et observer une trève jusqu'au lendemain. C'est de là que proviendrait, paraît-il, cette ancienne coutume de suspendre une boule de gui au plafond et d'y échanger un baiser en signe d'amitié et de bienvaillance.
Une autre version raconte cependant que cette coutume, fort répandue chez les anglo-saxons, était rattachée à la légende de Freya, déesse de l'amour, de la beauté et de la fécondité. Selon la légende, un homme devait embrasser toute jeune fille qui, sans s'en rendre compte, se trouvait par hasard sous une gerbe de gui suspendue au plafond.
Même si sa signification païenne a été oubliée depuis longtemps, la coutume d'échanger un baiser sous le gui persiste encore dans de nombreux pays européens et au Canada. Ainsi, un baiser échangé sous le gui par un couple d'amoureux est interprété comme une promesse de mariage, tout en se voulant un présage de bonheur et de longue vie.
En France, la coutume relative au gui était réservée au jour de l'An : "Au gui l'An neuf". Aujourd'hui, le baiser sous le gui peut se faire tout au long des fêtes.




L'application

Première prépa pour le défis des dames de ces Seigneurs. Enfin surtout à la recherche des meilleurs spots au plus prêt de chez moi pour pouvoir faire l'entrainement au quotidien. Et je suis plutôt contente, à peine 2 km à faire et il y a à boire et à manger. 

C'est parti pour une première d'une longue série de travail en cotes. 

Au bout de chaque montée le hasard met sur mon chemin du houx...lointain cousin du gui non ????!!!!!!
si ça c'est pas un signe de la nature pour me porter au bout de mon défis, 
oui dame nature soit bienveillante avec moi 
mes petites jambes en auront bien besoin ....

3 commentaires:

  1. Youhou poulette. Lorsque tu dis avoir trouvée du gui sur ton chemin, tu ne parles pas de cette branche verte sur laquelle s'est posé ta garmin ?
    Rassure moi !!!

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  2. mais c'est vrai je vais rajouter une photo et mettre une légende à la mienne pour les incultes, la semaine prochaine j'aborde le thème de la différence entre les chataignes et les marrons ! lollll

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