mardi 26 janvier 2016
Trail blanc du Gaschney
Tac Tac Tac qu’est-ce que je
n’aime pas entendre ce bruit de gouttière le matin en me réveillant.
Les warnings se mettent déjà en
route, bordel c’est aujourd’hui qu’on va au trail blanc du Gaschney, et déjà
les routes du nord sont glacées.
Petit vent de panique comment
vont être les autres routes dehors ?
Est ce qu’on pourra accéder à la
station sans faire 5 kms à pieds avant ?
Bon après le trail blanc c’est
une petite distance, cela fera un excellent échauffement. Mais se retaper la
distance en arrivant quand tu ne penses qu’à une douche chaude c’est moyen.
Covoiturage au max de la capacité
technique avec 3 poulettes sur la banquette remontées à bloc et au moins 15 kgs
de nourriture dans la voiture. Manquait le réchaud et on pouvait faire Service
Driving Après Ski !
Direction retrait des dossards
dans la petite salle d’accueil, on se presse, on se colle et on se marche déjà
dessus. Tiens surprenant, un dossard et une puce, je me crois en format
triathlon, ou alors c’est déjà un présage pour la suite des péripéties…
Le gros dilemme du jour quoi
mettre. La météo est plus que clémente mais on est en montagne et le soleil
peut vite se faire prendre par les nuages. Les températures ont bien grimpé, ce
n’est pas aujourd’hui qu’on va choper des engelures.
Petit brief du départ, comme
d’habitude on n’entend rien, de toute façon cela n’a aucune importance, si on
doit mourir aujourd’hui on servira de repas au retour des hirondelles au
printemps. Feu de départ lancé, les premiers partent super vite, ils ont bien
raison vue qu’on commence par une descente et qu’après chaque dépassement sera
une expédition polaire.
Forcément je suis partie trop
habillée, j’explose de chaud dès le départ, pas le choix faut que je me
débarrasse d’une couche. Mais quelle bonne idée j’ai eu de mettre ma montre et
ma puce au-dessus de la veste. Qui se coince évidemment avec le sac qui ne veut
plus se fermer!!!! 5 Min de combat, l’aide de jipi, un épisode de Gigi des
Bronzés font du Ski, on repart enfin à la course poursuite du temps perdu.
Et quelle course poursuite,
quelle épreuve de force avec une pression à la con à la clé en plus pour notre
duo.
Faut savoir que courir sur la
neige tassée c’est facile quand c’est du gros chemin plat. Mais là, aussi
surprenant que cela puisse paraître, il n’y en avait presque pas, et la plupart
du temps on était enclavé dans une monotrace avec des trous de pas.

Autant les paysages nordiques
sont magnifiques, autant faut compter sur les changements permanents de
contraste entre la forêt, la neige et le soleil. Sans compter les glissades en
série.
Pour dépasser c’est vraiment un
travail de forcené. Autant jipi arrive à sauter tel un cabri dans les tas de
neige, autant moi je m’enfonce, j’ai plus pieds et je me noie dans la neige. Terrible
je n’arrive pas à trouver mon rythme, je hurle toutes les 5mins de mes propres
frayeurs, aucun souffle, je découvre que j’ai une hanche au bout de mes jambes.
Dur dur dur aussi molle qu’est la
neige.
Parcours
J’adore ce genre de profil, tout
en montée avec deux boucles qui permettent de repasser au point de départ.
Idéal pour balancer ses affaires en trop et pour faire un petit coucou aux
supporters.
Par contre pour dépasser c’était
chaud. Autant au début fallait forcer le passage, en se bouffant pleins de
bâtons en l’air, autant à la fin les gens se poussaient gentiment. Il est vrai
que moi j’étais enfin d’attaque sur la seconde boucle. On reconnait bien là les
endurants.
Je persiste à dire qu’il faudrait
interdire sur les petites distances les bâtons (et si les personnes ne savent
pas comment se muscler les bras, qu’elles nagent !).
L’ambiance
Outre la féerie du lieu lié à des
conditions météo idéales, on a vraiment tous passés un bon moment. Entre ceux
venus pour la course et le chrono et ceux pour la bataille de boules de neiges,
chacun a retrouvé une âme d’enfant devant une crêpe bien chaude et un vin
chaud.
Remarques diverses
- J’aime ces instants magiques de course partagés entre potes. Que ce soit le sourire radieux de Christine sur la première marche du podium, que le cri de guerre de Stéphanie quand elle se tape des sprints intermédiaires…
- J’aime quand on me met une pression à la con qui me motive à sortir de ma bulle de confort
- J’aime retrouver sur ce genre de course les copains de run que l’on se fait au fil des épreuves, et qu’on est tellement content de revoir
- J’aime chuter à 400m de l’arrivée, me taper une crampe à la con et me faire héliporter pour me relever de la neige avant de terminer la rage au ventre
- Mon frontale était ravie de faire un tour à la neige
- Mes chaussures ont été enfin nettoyé depuis le début de l'année
https://connect.garmin.com/activity/1025068024
https://www.facebook.com/trailblancdugaschney
https://www.youtube.com/watch?v=fwjXgskUN50
samedi 16 janvier 2016
Reco run&bike de la wantzenau
C'est qui la reine du run&bike ! C'est bibi et sans tricher en plus ! Suffit d'être gourmande et de manger plein de galette. Merci au tri club de la Wantzenau pour ce ravitaillement. Un bon vin chaud il fallait bien cela pour nous remettre des conditions météo dantesques de cette reco.
https://connect.garmin.com/activity/1016897589
Attention au nouveau parcours, quand même bien différent des années précédentes que je trouve beaucoup plus physique et moins charmant qu'avant. On enlève la partie slalom entre les arbres dans la forêt et on rajoute des champs défoncés à la place. Perso j'aime beaucoup moins. Le vélo va en prendre un sacré coup dans la boue !
Définition du mot reco
Ok nous n'avons pas tous la même définition. Pour moi c'est pas une sortie familiale où il y a plus d'enfants de 7 ans que d'adultes. Après libre à chacun d' assumer ou non les marmots, je fais bien pareil avec les miens.
La n'est pas le problème du tout.
Mais bon je ne vais pas empécher les gens qui viennent faire un entrainement reco de faire le parcours en mode course.
La n'est pas le problème du tout.
Mais bon je ne vais pas empécher les gens qui viennent faire un entrainement reco de faire le parcours en mode course.
Où alors donnez moi le plan et le tracé gps et je me démerde pour le trouver. Mais me dire par un temps de merde, attend on va attendre tout le groupe...euhhhh là j'avoue je coince !
Euhhh non désolée je n'ai pas le temps d'attendre la garderie du club. Moi même j'ai des enfants que je dépose et je récupère à une certaine heure. Mais comment voulez vous qu'une fucking mother s'organise sinon avec ces entrainements.
Alors oui soit on fait des groupes de niveaux soit on ne propose pas de reco. Enfin c'est mon petit avis à moi que j'ai, surtout quand je pose la question dès le départ si il y a des gens du club pour ouvrir le chemin.... et qui connait le nouveau tracé ! Et qu'on me valide le truc !
CQFD
J'attend encore la venue de l'hélicoptère pour filmer mes petites fesses quand elles sont perdues dans les champs....
J'attend encore la venue de l'hélicoptère pour filmer mes petites fesses quand elles sont perdues dans les champs....
vendredi 15 janvier 2016
Sortie nocturne ski de fond
C'est parti pour la saison de ski de fond en nocturne enfin presque !
Découverte d'une piste éclairée à Kniebis, une sorte d' anneau spécialement aménagé pour les amateurs de fond diurne qui ont peur de s'aventurer en nature...alors ok c'est confortable de skier sans frontable mais cela enlève tout le charme du plaisir nocturne. N'est pas un warrior qui veut !
En tout cas pour la première glisse de la saison, la neige était super bonne, même si les pistes ont été recouvertes par la neige. Qu'importe à l'aventure humaine, on trace nous même nos trajectoires, on est libre de skier où l'on veut. Et ça c'est cool !
Pour la première fois j'ai compris à quoi servait un masque, merci à Clem's pour ma survie personnel de m'avoir épargné des bourrasques de vent et de neige froides en me prétant le sien.
Sympa la partie de rallye pour arriver à la station, non je n'avais pas peur, j'ai juste fait un exercice de gainage abdominal sur tout le trajet en priant que les déneigeuses se mettent enfin en action.
Curieux les petits allemands, en arrivant personnes sur la piste et tout d'un coup vers 21h, les lutins qui skattent comme des furieux vous passent dessus !
https://connect.garmin.com/activity/1016003290
jeudi 14 janvier 2016
un cone
Voilà comment je vois cette première sortie nocturne avec mes fidèles runners, oui comme un cone. Alors non je n'ai pas encore sniffé la colle, bien que, en ce début d'année un tube d'UHU ne suffirait pas pour me sceller les pieds bien au sol.
Mais pourquoi avoir les pieds au sol quand on peut avoir la tête dans les nuages....Car des nuages depuis 15 jours, on en mange ! De la flotte, de la flotte et de la flotte....Mais purée on ne peut même pas profiter des jours qui se rallongent tellement le ciel est chargé et pourtant ! Les plus nocturnes sont derrière nous !
Mais le cone est apparu....
Comme une fenêtre ouverte, un pied de nez à la météo.
Une heure sans pluie c'était bien mardi entre 18h30 et 19h30, donc oui mais quelle bonne idée de partir sur un run nocturne - mais pas trop long....
Un parcours comme un cone
On commence doucement et on monte directe d'un coup ! Ca j'aime bien !
Petit point materiel frontale Ledsensor
A oublier le modèle que j'ai.
J'avais changé les piles avant Noel et je n'ai pas fait la tournée avec le traineau et les rennes et pourtant hier elle m'a laché brutalement sur le run en plus sans me prévenir !!
Pour pas se prendre les pieds dans la frontale heureusement qu'il y a les TTW et nos mardis run !
https://www.youtube.com/watch?v=HWh1JpIjplA
mardi 12 janvier 2016
Passé l'éphiphanie on piste les rois
C'est partie pour une nouvelle saison trail avec le solde des TTW, une équipe de choc et gonflée à bloc. Ne cherchez pas sur la photo, il n'y a qu'un buff officiel de porté, c'est le mien.
Merci à tous pour votre participation à cette belle sortie bien boueuse et nuageuse mais sans aucune goutte de pluie ! Si ça c'est pas un exploit au vue de la météo, je ne sais pas. Comme quoi parfois on est juste béni du ciel.
En cette semaine de l'éphiphanie, chasser les rois et les reines sur les terres des barons de Fleckenstein c'est pile poil dans le thème. On aura eu beau faire 4 châteaux on est rentré pourtant bredouille. Pas de féve mais juste du fun !
Remarques :
Nouvelles signalétiques mises au point autour des châteaux avec des vrais panneaux côté allemands et français c'est top ! Bravo les clubs vosgiens !
Remarques :
Nouvelles signalétiques mises au point autour des châteaux avec des vrais panneaux côté allemands et français c'est top ! Bravo les clubs vosgiens !
https://connect.garmin.com/activity/1009861050
https://www.youtube.com/watch?v=RONI_t9AU3k
jeudi 7 janvier 2016
2016 je glisse
la ritournelle de cette première heure de cours de natation :
JE GLISSE sur l'eau !
Faut
que cela glisse, faut que cela glisse, siiiiiiii nadia tu flottes tu ne couleras
pas, ne pense à rien d’autre qu’à flotter sur l’eau avec tes bras, tu t’en
fiches du reste pour l’instant, de toute façon tu sais nager !
J’ai
adorée cette approche très pédagogique de mon coach de natation. J’avoue que
j’étais plus que sceptique avant ce premier cours et il aura su me démontrer par
un certain nombre d’exercices éducatifs que j’arrivais presque à glisser sur
l’eau au lieu de me débattre comme un vilain canard en y laissant 10 fois plus
d’énergie.
J’ai
encore un peu de mal avec cette théorie que le crawl est la nage des fainéants
mais le travail mental est en cours.
J’attribue
en plus la palme d’or du canard laqué pour la persévérance avec laquelle il a
fait preuve pour me faire arriver à faire en plus mes premières culbutes dans
l'eau pour les demi-tours.
Quand
j’y repense c’est quand même incroyable, j’arrive à peine à pas me noyer dans
l’eau et faut passer cette épreuve des culbutes dans l’eau.
J’avoue encore une fois avoir été surprise de me voir arriver à faire cela.
J’avoue encore une fois avoir été surprise de me voir arriver à faire cela.
Bon
avant je n’en voyais pas l’intérêt mais le coach à encore une fois réussi à me
convaincre qu’il fallait en passer par là. Bon les premiers essais ont été
digne d’une vidéo youtube de mister bean (cf rappel ci-dessous), quand par
crainte je suis partie dans l’autre sens, ou alors quand j’ai fait la culbute à
l’envers de peur de taper contre le mur, ou alors quand j'ai tâtonné le mur
avant - avec mes doigts de peur de me fracasser la tête dessus.
Mais après quelques essais j’y suis arrivée.
Mais après quelques essais j’y suis arrivée.

ce qui est impossible de faire lors d’ entrainement collectif en club alors qu’on est déjà à 15 dans une ligne d’eau !
En
conclusion, vraiment TB ce premier cours, je pense m’être adressée à la bonne
personne pour arriver enfin à vaincre des handicapes nautiques…
Mais
je me demande si le fait d’avoir passé ce cours dans le petit bassin n’aurait
pas un peu joué en ma faveur !
https://www.youtube.com/watch?v=8gbImG50oIc
Piqure
de rappel et petite pensée émue à Mister bean à la piscine, je m’y retrouve
beaucoup….
https://www.youtube.com/watch?v=69Lr0BaLx-M
lundi 4 janvier 2016
L'info
Une autre version raconte cependant que cette coutume, fort répandue chez les anglo-saxons, était rattachée à la légende de Freya, déesse de l'amour, de la beauté et de la fécondité. Selon la légende, un homme devait embrasser toute jeune fille qui, sans s'en rendre compte, se trouvait par hasard sous une gerbe de gui suspendue au plafond.
Même si sa signification païenne a été oubliée depuis longtemps, la coutume d'échanger un baiser sous le gui persiste encore dans de nombreux pays européens et au Canada. Ainsi, un baiser échangé sous le gui par un couple d'amoureux est interprété comme une promesse de mariage, tout en se voulant un présage de bonheur et de longue vie.
En France, la coutume relative au gui était réservée au jour de l'An : "Au gui l'An neuf". Aujourd'hui, le baiser sous le gui peut se faire tout au long des fêtes.
Première prépa pour le défis des dames de ces Seigneurs. Enfin surtout à la recherche des meilleurs spots au plus prêt de chez moi pour pouvoir faire l'entrainement au quotidien. Et je suis plutôt contente, à peine 2 km à faire et il y a à boire et à manger.
C'est parti pour une première d'une longue série de travail en cotes.
Au bout de chaque montée le hasard met sur mon chemin du houx...lointain cousin du gui non ????!!!!!!
si ça c'est pas un signe de la nature pour me porter au bout de mon défis,
si ça c'est pas un signe de la nature pour me porter au bout de mon défis,
oui dame nature soit bienveillante avec moi
mes petites jambes en auront bien besoin ....
samedi 2 janvier 2016
2016 et....
déjà sous le soleil à peine fait 2 kms sous la grisaille de la plaine, je monte de 100 mètres au Liebrauenberg et le soleil resplendit !!! Si ça c'est pas un signe et révélateur de cette année à venir !!!!
2016 on est y !
On ouvre toutes les portes pour décrocher l'étoile de petits instants de bonheur... c'est à chacun de nous d'en faire l'effort ! Vivons nos rêves au lieu de simplement en avoir !
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