Le gui
que les Grecs associaient à Hermès, dieu messager de l'Olympe et dieu de la santé, était aussi considéré comme une plante sacrée du temps des Gaulois.
Les Druides croyaient que cette plante était semée sur le chêne par une main divine et voyaient dans l'union entre leur arbre sacré et ces rameaux toujours verts un symbole d'immortalité.
Le sixième jour de l'année celtique, les druides allaient couper le gui en s'exclamant : "O Ghel an Heu", une expression qui signifie littéralement "Que le blé germe !".
Cette expression, symbole de renaissance du soleil après le solstice d'hiver, a donné par déformation l’expression "Au gui l'an neuf !".
Les druides attribuaient aussi à cette plante des propriétés miraculeuses, notamment celles de guérir certaines maladies, d'immuniser contre les poisons, d’assurer la fertilité des femmes et de protéger les hommes contre la sorcellerie.
Par ailleurs, lorsque des ennemis se rencontraient sous une branche de gui dans la forêt, ils devaient déposer les armes et observer une trêve jusqu'au lendemain.
C'est de là que viendrait la coutume de suspendre une boule de gui et d'y échanger un baiser en signe d'amitié et de bienveillance.
Voir aussi
https://krapooarboricole.wordpress.com/2008/12/11/le-gui-une-lumiere-sylvestre/
2019 te voilà,
les rois mages sont passés, la galette a été mangé, la fève je l'ai eu, çà y est je suis enfin sacrée reine, une fontaine où l'eau coule déjà, une branche de gui, une étoile, et une épaule nue 2.0 redevenue originelle ...un combat se termine pour réécrire de nouvelles histoires et de belles aventures, le reste c'est à moi de le vivre maintenant 😊
l'année commence évidemment avec un bon Muse, incontournable et une vidéo démonte
MUSE - Pressure
https://www.youtube.com/watch?v=h2eKImKZviw
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