Avec le VTT tout a commencé

Mon blog, une autre façon d'aborder le sport ! L'endurance...la quête !
Tout a commencé par cela : Et pourquoi le VTT serait un sport masculin ? Pas courir après un chrono, d'une vitesse moyenne mais rester le plus possible sur ma LDY'selle...
(merci les Italiens, ils savent vraiment parler aux femmes ! ). Manger au ravito, boire un coup et tailler un bout de discut , ou si jamais une personne ose, car c'est rare, parler aux vttistes présents qui me dévisagent bien souvent comme une E.T. surtout quand je roule seule. Dire qu'au début, je pensais qu'aux ravitos les gens cherchaient à parler entre eux ! Que les randos étaient un lieu de rencontres de passionnés qui cherchaient à communiquer ! Et je me suis même inscrite dans un club ! Mais non, le vtt est un sport d'hommes, on ne fait pas causette bêtement ! Et on ne parle pas aux inconnus, disaient nos mères. Je confirme... Mais alors où peut-on rencontrer des gens pour parler de cette même passion qui nous anime ?????... pour rouler ensemble et partager ses émotions ? Mais on parle pas aux femmes ! Allez ouste aux fourneaux !

Et c'est comme cela qu'on ouvre ses horizons vers d'autres pratiques : route, course à pied, trail, run&bike, natation, ski.....et petit à petit moi qui était contre les courses on s'y colle et on rencontre des gens avec qui on peut parler !

dimanche 13 décembre 2009

13/12 VTT à Zinswiller-Ina : Constat Doux Amer

Que dire de la sortie d’aujourd‘hui si ce n’est qu’on se sent tout petit et minable par rapport aux cadors d’Ina. Pourtant je croyais avoir un minimum de conditions physiques après les km accumulés cette année. Mais non, y’a toujours des situations qui vous remettent bravement en en place. Et dire qu’on a fait que 30 bornes ! Bordel j'arrivais quand même à faire des sorties de 60-70 bornes cet été ! C’est vrai que les conditions météo n’étaient pas favorable mais bon habillé bien chaudement avec 4 couches (donc impossible de faire pipi à moins de se retrouver le pt’bidon à l’air), ça passe sans problème. Le terrain, mauvaise excuse aussi, c’est beaucoup moins boueux que par chez nous, mais c’est vrai que mon petit cerveau féminin n’aime pas les racines ni les singles tout humides,houllahoulla sous le paquet de feuilles y’a peut-être des pièges alors là aussi attention et prudence. Mais trop de précaution retarde de trop le rythme.
Alors que dire, ah je sais la brusquesse, mot que je viens d’inventer, du parcours. On a pas le temps de chauffer la machine, on monte dès le départ bien raide, on ne lésine pas sur le portage sur des flancs de montagne où j’ai pas vu de chemin, un charmant chemin le long d’une rivière, où le soleil vient réfléchir toute la beauté du paysage est juché de racines, et ainsi de suite...Heureusement qu’il a toujours un qui crève pour manger un bout. Merci le ciel, car après ce sera en roulant qu’il faudra grignoter. Conclusion, à moins de déconnecter mon cerveau et de faire, minimum des transfusions de sang de Vouilloz, Absalon, Martinez, impossible de suivre. Constat doux amer en cette fin de saison, j’ai beau me plaindre à la maison, on me répond VELOCITE ! C’est quoi çà, des gâteaux au chocolat ? j’ai comme un doute !



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