- 3 PARCOURS CYCLOSPORTIFS - - -
100 km / 2200 m D+
145 km / 3800 m D+
170 km / 4200 m D+-
- 2 PARCOURS RANDONNÉE (VAE acceptés) - - -
50 km / 1000 m D+
70 km / 1700 m D+

Répartition des coureurs avant la course
Prévision de la météo du WE : caniculaire 35 degrés, je suis cuite des Pieds, c'est mort pour moi !
Il est jeudi de l'avant course, j'ai beau penser à la technique à aborder pour ne pas cramper de la voûte plantaire, je ne vois aucune solution : alcool, drogue, glace, mais que faire ???????
Bordel de merde, j'ai les cuisses, les mollets, je suis restée sage durant 3 jours après le marathon. Maladie de vieux de bordel de crottes de biques !
On peut sonner les cloches à l'orga ?
Je trouve toujours aussi désagréable le niveau de communication de l'orga, avec un ton pas très sympathique par rapport à la canicule annoncée. Au lieu d'être dans la prévoyance, et la bienveillance, on est sommé de ne pas gaspiller l'eau à s'asperger inutilement. Hallucinant, quand je vois le protocole qui a été mis en place au Marathon du Vignoble et surtout la façon de véhiculer les informations, on est loinnnnnnnn.
Sonnez les clairons, chantons Musette
Coté animations, groupes de musique, supporters et évidemment les bénévoles, enfin on retrouve un peu de joie de vivre.
Dotations coureurs
Pour un prix de participation haut du panier, on sort juste avec un maigre lot de consolation et sans repas offert. Allé on se console, on peut aller faire un tour au lac !
Le parcours quand il fait beau : Top
Démarrer par une ascension permet au peloton de s’étirer et à chaque participant de trouver sa place aux côtés d’autres cyclistes de même niveau. Le Col d’Oderen vous est réservé pour l’occasion, un vrai bonheur. L’enchaînement avec le Page est rapide. Sa petite route forestière succède alors à la large route du Col d’Oderen. Vous profitez du panorama lorsque vous arrivez sur les hauteurs du village de Bussang. Le col du même nom est franchi par la petite Route des Sources. C’est au sommet, après une courte rampe signant le dernier kilomètre de montée, que vous rejoignez la route nationale. La descente est rapide, offrant de beaux lacets avec déjà une belle vue sur les crêtes.
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Longeant ensuite la vallée de la Thur jusqu’à Saint-Amarin, vous profitez de ces 6 kilomètres pour récupérer. Au centre de Saint-Amarin, après un passage par le ravitaillement, vous virez à droite. Ici, la pente particulièrement raide donne d’emblée le ton de cette difficile route du Haag. Ses 12 kilomètres qui vous mènent à la Route des Crêtes nécessitent d’équiper sa monture de vrais braquets de montagne. Les cols vosgiens ne ressemblent en rien à des collines, vous confirmerez…
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La gestion de l’effort est essentielle car au sommet, ne comptez pas sur une descente pour récupérer. Vous suivez la célèbre Route des Crêtes construite durant la première guerre mondiale. Notez bien que son profil n’est pas vraiment plat… La Route des Crêtes offre un paysage à couper le souffle mais réserve aussi son lot de petites côtes qui obligent à des changements de braquets fréquents.
A l’approche de la Schlucht, la descente est appréciée, c’est certain. Vous prolongez ainsi jusqu’aux portes de La Bresse. Attention tout de même au petit col des Feignes qui « casse » la descente (et vos cuisses !). La dernière ascension du jour est quant à elle plutôt régulière. Par ce côté, le Col du Bramont s’étire sur 3,4 km avec une pente moyenne de 6,7 %. L’ultime descente, avec ses multiples lacets, demande encore de l’attention. Restez vigilants jusqu’à l’arrivée où vous pouvez enfin vous détendre.
allé on apprend à manger salé le matin, petit burger maison avec prot naturelle !!!! |
En tout cas une chose est sûre, le parcours par rapport à l'année dernière c'était la nuit, et le jour mais le jour de presque canicule quand même. Le constat est simple, plus vite tu grimpes, moins longtemps tu subiras la chaleur.
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Finalement presque tous les cols se feront encore à l'ombre des sapins. Hormis le passage des crêtes, le parcours était relativement ombragé. Et c'est certainement pas moi qui vais me plaindre du soleil.
Si on en juge par l'enchainement des difficultés, je trouve que cette trace est facile et accessible à tout un chacun qui sait pédaler un minimum. Hormis la montée du col du Haag, rien de compliqué en vérité. Mais qu'il est beau ce parcours !
Ma course frustrée mais contente
Il faut absolument que j'apprenne à prendre les roues, et que je me mette en tête qu'une cyclosportive n'est pas individuelle.
Tant bien même je suis contente du résultat au regard de tout ce que j'avais imaginé en scénario catastrophe, mais folle de rage de voir l'arrivée au loin et être immobilisée totalement d'une crampe sur toute la cuisse droite.
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A ce moment là j'ai quand même halluciné du comportement des autres cyclistes. Hormis quelques regards furtifs, une petite remarque positive d'un gars, mais aucun ne m'aurait mis, ou aidé d'un petit coup dans le dos, ou même une main sur les fesses bien placée pour me pousser et relancer au moins la machine.
AHHHH ben bravo les gars, j'aurais pu dessécher là si près de l'arrivée aucune compassion de personnes !
Je ne connaissais pas encore ce genre de petite douleur qui sait transformer en colère quand j'ai vu la 4éme femme me passer devant. En principe je suis tellement accaparée par mes petits petons que jamais je n'avais imaginé cramper de la cuisse. Tiens d'ailleurs tu existes toi cuissot droit ? Pourtant jamais je me suis mise dans le rouge. Merci encore mon biotope interne.
Pourtant intérieurement je sais ce que je devrais faire pour performer. Le truc là, se mettre dans le rouge à l'entrainement et booster ma VMA pour arriver à grimper plus fort. J'ai quand même bcp de mal à concevoir quand certain(e)s au physique grassouillet me mettent des cartouches dans les cols. Ca nadia c'est pour que tu restes bien lucide de tes capacités et surtout de tes manquements et points faibles. Et n'attrape surtout jamais le melon mais plutôt le Ballon....petit, grand celui d'alsace, de servance, de saint antoine.
Arrivée dans le 1er tiers encore des participants,
yes c'est bon ça !
yes c'est bon ça !
En résumé, j'ai su gérer au mieux les montées et les petites relances, toute seule et bêtement comme une grande mauvaise stratège. Pourtant dans la première montée on se suivait avec 2 autres femmes, mais elles ont pas tenu le rythme et surtout ne pédalaient pas en descente. Allllala l'erreur.
Whaouuu cela faisait longtemps que je n'avais pas pris autant de plaisirs dans les descentes. Mais quel kiffe de pouvoir enchaîner comme cela les kms sans se soucier (de trop) de la circulation routière.
Ce que je n'ai pas très bien compris
- Tous les départs en commun ? Mais quelle drôle d'idée non ? Ohhhhllalla le bordel au départ, je ne vous dit pas... Bon certainement cela impact favorablement le nombre de bénévoles en moins et surtout une plage horaire réduite.Après étant arrivée au avant poste du peloton, je n'aurais jamais fait un aussi bon départ ! On peut inscrire cela dans mon pédigrée segment tête de course de 3mn ???
- On en parle de l'arrivée, nonnn ça vraiment c'était du n'importe quoi ! Maissss pourquoiiiii ?Vous vouliez que les voitures fassent un strike avec les vélos ? Vous vouliez tester le degrés de lucidité des coureurs pour voir s'ils arrivent encore à zigzaguer entre les voitures ?
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Mon brin d'humeur
5 participants de l'UCH qui ont brillé sous le soleil ! Sympa de découvrir les autres membres du club à cette occasion. C'est dingue comme un maillot peut être fédérateur. Au moins pour une fois, je n'ai pas airée seule comme une antisociale. C'est cool quand même d'appartenir à un club où les gars n'ont pas d'autres choix que de te parler finalement ! Humourrrrrrrr.
Ses sommets ne s’élancent pas vers le ciel comme des défis, ils ondulent. Ils invitent. Ils enveloppent. On les appelle les ballons. Une belle image, non ?
Comme s’ils flottaient. Comme s’ils avaient été posés là, tout en rondeur, pour nous inciter à ralentir ou mieux encore à accélérer ses trajectoires en vélo lors des descentes. Les panoramas se méritent et se conquièrent.