mardi 11 mars 2014

Les nocturnes du wintersberg deviennent de plus en plus belles






....de la magie, du rêve, des couleurs étincelantes, des paysages exceptionnels….
Le tout sur un tout petit parcours de 14km mais avec 900m de dénivelé….yesssssss jackpot pour cette petite virée nocturne.



Première session de chauffe tranquillou avec david pour faire la montée vers la Wasenbourg où l’on se prend en plus le temps de grimper sur le temple…Super cool la partie de grimpette sur le rocher, on se sent encore plus humble face à la nature une fois assis sur Mercure. J’aime découvrir ces trésors cachés au sein de ces vieilles pierres comme le sont simplement ces petites fleurs bleu violettes qui ont réussi à pousser sur cette rocaille. La nature dans toute sa force, sa puissance, sa splendeur qui reprend le dessus sur la caillasse.






Rapidement l’heure tourne, on ne tarde pas à redescendre en empruntant mon sentier favori avec les passerelles à gibier. Spéciale dédicace à notre pote Jérome en chevauchant le parcours du combattant laissé par les bucherons qui ont encore une fois taillé sec dans la forêt. Bien bien bien après l’escalade du rocher fallait bien une descente un peu ludique.






Seconde partie de parcours on récupère nicolas sur le parking de la celtic et s’est reparti pour la montée du wintersberg. Même pas besoin de frontale avant d’arriver au chalet. Pour le fun, et parce que le ciel est extraordinaire par sa clarté, je termine dans la semi obscurité du couché du soleil jusqu’à l’ascension des marches. Pour une fois, on fera la photo souvenir sur la plateforme en tshirt (nonnnn j’ai pas froid….glallalaaa c’est pour faire travailler ma chair de poulette….). J’hésite à deux fois avant de poser la frontale sur la tour tellement il y a du vent sur les hauteurs. Petit tour d’horizon pour assister à la féerie du moment.
Comme on tire un store le soleil fait sa révérence et se cache derrière les montagnes pour laisser place à un rideau et filet de lumière d’un rose à faire pâlir la fleur de Ronsard. 
Majestueux tout simplement.



La descente elle sera hautement acrobatique. D’ailleurs j’ai eu la mauvaise idée de partir en slick ne mettant mes vieilles cascadia et bientôt j’allais le payer par un certains nombres de frayeurs nocturnes. Engloutie presque jusqu’aux genoux - bon c’est facile quand on est une naine - dans les tas de feuilles, à deux cm de mordre le ravin la tête en première, prendre l’ascenseur de la chute en dérapant sur les marches en bois sur les passerelles….  Aiieieiie on se calme, on sort le frein à main et on joue la sécurité au profit de l’adrénaline surtout quand on n’a pas de grippe….






Merci à david et nicolas pour leur compagnie….





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